Note de voyage

La musique occupe une place très importante dans ma vie. Une vie sans musique, je n’ose l’imaginer. Elle adoucit la dureté de la triste réalité de notre époque. Mes goûts sont variés et s’adaptent aux jours, aux évènements et à mes états d’être. Mon autre passion fut pendant longtemps les voyages. Comme il n’est plus trop recommandé de voyager, si on se préoccupe de l’environnement, je voyage autrement maintenant.

Il y a un an, j’ai découvert sur la chaîne musicale de Radio-Canada ICI MUSIQUE, l’émission de Stéphan Bureau intitulée Note de voyage. Celle-ci est diffusée en direct le dimanche à 10 h le matin. Elle commence justement en ce moment. Ne me demandez pas comment la syntoniser sur la radio, car vivant en campagne, je ne peux la capter que via l’internet. Vous pouvez donc y accéder via votre ordinateur ou via vos téléphones ou tablettes, car il existe aussi une application gratuite. J’ose croire que vous pouvez y accéder même hors Canada. Aujourd’hui, c’est destination Lisbonne. Stéphan Bureau nous partage ses suggestions concernant la destination, ses coups de cœur entre les pièces musicales, lesquelles ne sont pas nécessairement des œuvres provenant de la destination. Ce sont plutôt des états d’être qu’il nous partage. J’adore ses voyages musicaux qui très souvent me font revivre les miens, mais surtout qui me transportent. Les choix musicaux sont excellents.

Mes favoris sont ses émissions sur Bali et la Nouvelle-Zélande. Car la bonne nouvelle, c’est que vous pouvez retourner jusqu’à un an derrière pour écouter les archives en cliquant sur Notes de voyage plus haut. C’est généralement en rediffusion aux moments de mon choix que j’écoute Note de musique.

Grâce à ICI MUSIQUE, vous pourrez également écouter des compilations (webradio) selon vos genres. Vous pouvez noter vos favoris et y revenir quand vous le désirez. J’en ai plusieurs selon l’ambiance recherchée, dont C’EST SI BON de Claude Saucier qui me remémore les choix musicaux de mon grand-père, qui possédait une impressionnante collection de disques vinyle.

Les choix de webradios sont nombreux et variés. Vous trouverez également des catégories du genre inspiration/créativité ou cuisine! Bref, des heures de plaisir d’écoute pour tous les goûts, où que vous vous trouviez.

Bonne écoute!

Toutarmonie

Écrire ou ne pas écrire – partie 2 de 2

Je vous avais promis de revenir vous partager les synchronismes qui se sont mis en place en réécrivant, dans la partie 1 de cette publication, alors me voici.

La magie qui opère en écrivant n’est pas nouvelle pour moi, mais chaque fois elle me fascine. Un de mes lecteurs dessinateur m’écrivait ressentir la même chose au niveau du dessin. Sans doute est-ce le lot des créatifs, quelque soit leur domaine de prédilection. Pourtant, on se retrouve régulièrement à procrastiner. Pourquoi diable cet entêtement, puisque cela nous fait autant de bien? Ça reste encore un mystère pour moi.

Cela dit, dès que je me remet à écrire, les synchronismes se produisent dans ma vie! Parfois ceux-ci n’ont aucun rapport avec l’écriture, mais récemment, alors que j’excellais à procrastiner, je crois que  » la vie  » a voulu me démontrer une direction claire. C’est ainsi qu’en l’espace de 48 heures après avoir recommencé à écrire, 3 synchronismes se sont produits. Je suis d’abord tombée par hasard sur une publication d’un blogue que je ne connaissais pas parlant d’un concours intitulé Nanowrimo. Le défi consiste à écrire un livre de 50 000 mots du 1er au 30 novembre de chaque année. Que gagnez-vous si vous réussissez? Votre propre livre, tout simplement! Le site est une plateforme où tous les participants inscrivent quotidiennement à leur compteur le nombre de mots atteint. Mon but dans la vie n’est certes pas d’écrire un nombre particulier de mots, mais j’avoue que cet outil, si bien utilisé, peu faire en sorte qu’une personne soit plus motivée. Tout au long de l’année, vous pouvez également vous lancer des défis perso échelonnés sur une période maximales de trois mois, avec autant de petits compteurs que vous aurez de projets. Bien que le site soit en anglais uniquement, il existe des groupes dans de nombreuses langues et partout dans le monde. Ce site peut devenir le petit coup de pied bien placé pour vous sortir de votre zone de  » proscratinage « . J’ai trouvé ce synchronisme rigolo et je m’y suis inscrite.

Le lendemain, en consultant mon mur de nouvelles Facebook, je suis tombée sur un concours organisé par Radio-Canada; les prix de la création Radio-Canada. La catégorie est le récit. On doit parler d’un fait vécu en 1200 à 1800 mots. Intéressant! Ça m’interpellait. Premier prix de 6000,00 $ et 1000,00 $ pour les finalistes. Hmmm… cela pourrait contribuer à financer mon autre projet. Quel serait mon sujet? Date limite: 28 février 2018. Ah! J’avais le temps…

Quelques minutes plus tard, je recevais un courriel du centre culturelle d’un village voisin au sujet d’un concours littéraire! Tiens donc! Je ne peux cependant pas dire que le thème  » une histoire à dormir debout  » en 800 mots me transportait, mais l’envie d’y participer s’est imposée! Date limite: 1er avril 2018. Les prix sont modestes, mais pourquoi pas m’amuser à y participer?

Auparavant, je n’avais jamais eu envie de participer à de tels concours et voilà qu’en l’espace de quelques minutes, j’en avais deux dans ma mire!

Qu’aie-je fait par la suite? Hey oui, vous aurez sans doute deviné! J’ai procrastiné! Aucun mot ne figure encore à mon compteur Nanowrimo et je n’ai toujours pas commencé à écrire mes textes pour les concours. Par  » hasard , je suis encore tombée sur le concours de Radio-Canada ce soir. C’est d’ailleurs ce qui m’a incité à venir vous en parler, question de ne pas me laisser le choix. J’ai encore l’intention d’y participer, même si cela ne me laisse que 8 jours pour écrire un récit d’environ 1500 mots! Je me questionne encore sur le choix de mon sujet.

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C’est là qu’intervient un élément essentiel à la créativité, l’état d’être. Nous avons tous nos petits rituels sécurisants. Pour ma part, je démarre la musique de mon IPad en mode aléatoire (il est important pour moi de ne pas savoir ce qui jouera ensuite) et je l’oublie. Ensuite, il est fréquent que j’allume tous mes chandeliers, car j’écris presque uniquement le soir. La lueur dansante des flammes orangées me réconforte et m’invite à m’abandonner à l’univers en moi.

1, 2, 3, GO…!

par Toutarmonie

(Étrange! J’avais commencé cette publication le 11 février, mais je ne l’ai écrite et publiée qu’aujourd’hui le 21 février, pourtant elle apparaît comme si je l’avais écrite le 11! Génial, j’ai pu le modifier.)

7 ans aujourd’hui – l’ami extra

WordPress m’a annoncé ce matin qu’il y a exactement 7 ans, jour pour jour, je lançais ce blogue. Ce n’était pas qu’un blogue à l’époque, c’était un pont entre un ami spécial et moi. C’était la concrétisation d’un souhait commun, une sorte de havre où nous nous retrouvions. Nous devions au départ l’écrire ensemble ce blogue. Nous avions une vision commune du monde de demain. Nous avions des projets extras et nous étions l’un pour l’autre une muse nous inspirant des textes fabuleux! Il arrive parfois, si l’on est chanceux dans sa vie, de croiser une personne qui nous donne la sensation que tout ce que nous avons vécu avant cette rencontre, l’était pour nous retrouver. Vous avez alors la sensation d’être arrivé à destination et que vous venez enfin de rencontrer quelqu’un de la même planète que vous! Si vous vivez cela plus d’une fois dans une vie, alors vous êtes vraiment très chanceux! Je n’ai pas encore eu ce privilège…

Vous connaissez cette citation: il n’existe pas de rencontres, il n’y a que des rendez-vous? La profondeur de nos échange était bouleversante. Je manque même de mots pour vous décrire à quel point ces échanges avec lui étaient précieux. Cela aurait été vraiment génial ce blogue à deux, je crois, mais il en fut autrement. Cela m’avait à ce point blessé que j’avais même effacé tous ses commentaires, comme pour l’effacer de mon esprit. Comme si cela avait pu être possible! J’ai longtemps cru y avoir perdu une partie de moi, même si cela est techniquement impossible. En réalité, après cela, je comparais inévitablement ce que je vivais avec ce que j’avais ressenti à son contact. La barre venait de gagner en hauteur par rapport à ce que je voulais ressentir de l’autre. Je l’avais sans aucun doute idéalisé, cet homme, mais cette connexion magique était bien réelle. Nous étions pareils et très différents à la fois! Aujourd’hui, c’est ce que je pense. J’ai  longtemps délaissé l’écriture après cela, croyant ne plus retrouver la flamme intérieure qui alimentait ma plume, en dehors de ce blogue. Ce fut, je crois ma plus grande tristesse.

C’est finalement le blogue qui devint mon ami et c’est avec lui que j’ai parcouru un bout de chemin. Je disais à la toute fin de mon tout premier article qu’il n’était pas toujours possible de s’isoler en forêt, car à l’époque, ma fille vivait avec moi et je ne voulais pas l’isoler de son père dont elle avait également besoin. Je devais donc vivre à proximité de Montréal. Ça m’aura prit 5 ans avant de réaliser mon souhait profond de vivre en pleine nature. C’est d’ailleurs la rivière, la forêt, les végétaux et les animaux qui graduellement me reconnectent à ma plume.

Je réalise le reste de notre rêve commun, mais seule. Je ne vous cacherai pas que je pense régulièrement à lui, surtout lorsque je m’émerveille face à la nature, mais quand je le fais, ce n’est plus vraiment à lui que je pense, mais à celui que j’imaginais qu’il était ou celui que je rencontrerai peut-être un jour parce que s’il avait été celui que je croyais être, jamais il n’aurait pu se priver de ce contact si privilégié.

Ce blogue, je l’écris pour vous tous que je ne connais pas. Un blogue, c’est un peu comme une bouteille lancée en mer. On ne sait pas qui lira notre message, mais je crois que si les mots partagés émanent du cœur, ils rejoindrons aussi le vôtre, qui que vous soyez.

Voici donc ce premier article:

Un ami extra

Publié originalement le 6 février 2011

L’idée de créer ce blogue est venue suite à la lecture d’un courriel reçu d’un de mes amis « extra », extra étant le qualificatif mignon que nous donnons aux gens qui se sentent différents et qui ont la sensation de ne pas appartenir à cette espèce qui détruit tout et semble déconnectée de l’authentique. Des amis extras, nous n’en avons généralement pas beaucoup. Et si nous avons la chance d’en avoir un ou deux, nous pouvons nous compter chanceux et privilégiés.

Un ami extra, c’est quelqu’un qui vit un peu en retrait… qui fait les choses différemment, qui ose et qui doit nécessairement faire preuve d’originalité et de créativité pour pouvoir vivre selon ses convictions. Il est souvent pointé du doigt parce que sur cette planète, agir différemment dérange. Il ne se contente pas de dénoncer, il agit. Il croit à une vie plus harmonieuse sur cette planète et se sent parfois bien seul en voyant tout ce qui se passe dans le monde.

Il n’hésitera pas par exemple à jeter son vieux tube de dentifrice lorsqu’il découvre que le fluor est un poison et fera des démarches pour en trouver un sans ce produit nocif. Il n’hésitera pas à recourir à d’anciennes méthodes parce que les nouvelles sont nuisibles pour lui et son environnement, comme par exemple de se débarrasser de son four micro-ondes et de prendre le temps de cuire ses aliments sur une cuisinière traditionnelle. Il lui arrivera de faire remarquer gentiment à un conducteur que son moteur tourne pour rien, même s’il rage intérieurement que les gens ne comprennent toujours pas l’impact de tels gestes pour l’environnement.

Il est conscient qu’il n’est pas toujours possible de s’isoler en forêt pour vivre différemment et donc pour pouvoir fonctionner dans cette société axée sur la sur-consommation, le pouvoir, et l’argent, ses amis « extra » sont pour lui une bouffée d’oxygène dont il ne saurait se passer.

Alors cher et chère ami(e) extra, si tu te reconnais dans ce terme, je te souhaite la bienvenue et t’exprime toute ma reconnaissance de partager avec moi tes commentaires, tes idées, tes pensées… et merci d’ajouter une parcelle de soleil dans ma journée!

par Toutarmonie

Prêt-à-croire – virtuel et réalité confondus

Le restaurant qui n’existait pas

Peut-être avec-vous entendu parler de cette histoire d’un homme qui a réussi à ce que son restaurant The Shed at Dulwich se classe #1 des restaurants de Londres au palmarès de TripAdvisor, alors qu’en fait, son restaurant n’existait même pas! Si vous n’avez pas entendu parler de cela, voici la vidéo de l’histoire. Rejoignez-moi ensuite, car je poursuis la discussion.

 

Évidemment, cela fait réfléchir. Mes amis informaticiens me disent de prendre l’habitude de regarder les « reviews » avant d’acheter un produit, afin d’avoir une meilleure idée de la satisfaction des utilisateurs. Imaginez qu’un entrepreneur voulant faire mauvaise presse à un commerçant agirait comme l’a fait cet anglais, en manipulant les critiques. L’inverse est aussi possible, qu’un produit semble extraordinaire dans les commentaires (comme ce restaurant) alors qu’il n’en est rien! Pas besoin d’aller bien loin pour comprendre cela, puisqu’il suffit de regarder les entreprises de boissons gazeuses et de restauration rapide (pour ne nommer que celles-là) pour constater que les gens ne consomment pas leurs produits pour leurs bienfaits, mais plutôt pour « l’image » que les publicités leur suggère. C’est le propre de la publicité. On parle ici de consommation, ce qui n’est pas le point qui m’intéresse vraiment dans cet article.

Prêt-à-croire

Le web permet de merveilleux échanges, parfois même au-delà de nos espérances (quoique… ). Le danger vient du fait que ce que nous regardons est contrôlé. À notre insu, des gens décident de ce que nous lirons et orientent notre pensée. Il existe de plus en plus de « fake news » qui bernent même la presse traditionnelle. Des entreprises vont augmenter le nombre de « j’aime » de vos publications sur vos médias sociaux moyennant une somme d’argent! Autant dire que si les gens payent pour cela, c’est que le nombre de « j’aime » influence l’opinion des gens! Les photos sont, elles aussi, couramment manipulées, si bien que vous pourriez vous retrouver à pique-niquer avec le pape sans grande difficulté. Un jeune avait fait croire qu’un enfant avait été enlevé par un aigle royal dans un parc de Montréal, grâce à un montage. Plus de 20 millions d’internautes avaient vu cette vidéo en 48 heures, sans jamais savoir que cela n’était jamais arrivé. Cela devient de plus en plus un casse-tête pour bien des gens. J’ajouterais que l’impopularité des religions a fait naître un substitut à celle-ci: les médias sociaux. Les gens sont prêts à croire à n,importe quoi. Ajoutez à cela le fait que de plus en plus de gens ne prennent même pas le temps de lire un article pour le partager ou le commenter! Nous sommes à l’ère du prêt-à-croire! La question qui surgit alors est « Qui croire? »

Comment s’en sortir

Ce que je m’apprête à vous dire ne plaira pas au plus rationnels d’entre vous.

Que ce soit nos politiciens, les entreprises ou les médias, tous nous bombardent d’informations. On nous présente des scandales qui n’en sont pas, mais peu n’importe, car une fois qu’il a montré le bout de son nez, les gens ont déjà jugé les personnes concernées, que les propos soient fondés ou pas. Si l’industrie du lait bat de l’aile, alors sitôt on voit apparaître une étude discréditant le breuvage de soya. On entend alors des commentaires du genre « Le lait n’est pas bon, le soya n’est pas bon, que boirons-nous? » Ce n’est qu’un exemple parmi plusieurs. En fait, la réponse est en vous! Hey oui, la p’tite voix qui vous dit « Ben voyons donc! » même quand ça sort de la bouche d’un élu (et je vous entends penser avec justesse « surtout lorsque ça vient de la bouche d’un élu!« ). Intérieurement, vous pouvez faire la part des choses. C’est un langage qui a été perdu pour bien des gens, mais qui se retrouve, avec de la pratique.

La confiance en ce qui monte (que plusieurs nomment l’intuition) vient en effet avec la pratique. Plus vous lui faites de la place, plus vous savez la reconnaître et plus vous lui faites confiance. La confiance que vous accorderez à cette voix intérieure vous ouvrira les portes à une meilleure communication à ce niveau. Est-il possible que des gens n’aient pas cette petite voix? Non. Par contre, il y a des gens fermés à ce qu’ils sont vraiment. Leur mental voulant tout contrôler, il ne traduit pas ce que leur souffle leur voix intérieure.

prisonnier de soi meme
Crédit: source inconnue

Cette voix surgit spontanément. Ce n’est pas une analyse. C’est plus comme une image, une certitude, ou même parfois comme une main qui nous dirige à gauche, plutôt qu’à droite. Avec la pratique, ça peut devenir un dialogue parfois. Ce qui est rassurant, c’est que cette « voix » connaît des réponses que notre mental ne connaît pas.

Au début de la période des Fêtes, ma fille m’a texté pour me demander « devine qui je viens de voir au marché Jean-Talon?« . Mon mental a tout de suite pensé à un ami qui m’avait téléphoné la veille pour me donner de ses nouvelles en me disant qu’il était à Montréal pour les Fêtes. Ma petite voix intérieure m’a soufflé très fort le nom d’un chanteur de la relève! Je n’avais aucune raison de penser que ce chanteur était au marché public! Ma fille étonnée a dit « Comment as-tu su? ». Moi je ne le savais pas, mais ce qui me guide le savait. Si ma fille qui connaît pourtant cette connexion que j’ai avec ce qui m’habite était quand même surprise, je peux imaginer que cela puisse sembler farfelue pour plusieurs d’entre vous. Évidemment, cela semble ésotérique, mais c’est tout de même comme cela que ça fonctionne.

Peur de quoi?

Je crois que la raison pour laquelle tant de gens s’étourdissent avec 1001 choses, c’est justement pour ne pas entendre cette voix. Ces mêmes personnes qui s’impatientent de ne rien « entendre » sont souvent les mêmes qui inconsciemment ne veulent pas se retrouver seule avec elle-même, parce qu’à partir du moment où s’établie cette communication, il faut savoir accepter des choses que nous ne sommes pas toujours prêts à accepter. Cela peut aller très loin parfois. Ce qui est bon à savoir c’est que si on s’ouvre à cette voix et qu’on accepte ce qui vient avec, les synchronismes dans nos vies se succèdent. Des synchronismes parfois dignes d’un film hollywoodien!

Êtes-vous prêt?

par Toutarmonie