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Du bonheur et encore du bonheur!

Vous avez probablement remarqué le sous-titre de ce blogue: « Avoir l’impression d’avoir été parachuté sur la mauvaise planète? » Effectivement, en voyant tout ce qui se passe sur cette planète, on se dit qu’il doit sûrement y avoir erreur! Me suis-je trompée de planète? De là le terme « Extra » que j’utilise, pour désigner ceux qui se démarquent des autres et qui comme moi, ont souvent cette impression de ne pas appartenir au genre humain. « Extra » aussi pour « extraordinaire », car lorsqu’on vibre à l’unisson avec ce qui nous donne vie, avec la nature et tout ce qui nous entoure, nous sommes tous, à notre façon, des êtres extraordinaires. Ces gens sont authentiques, vibrants, et passionnés. Ces personnes, lorsqu’elles parlent, ne font pas qu’aligner des mots pour avoir l’être intéressants. Non, car l’énergie qui émane d’eux communique déjà avec nous, bien AVANT les mots. On les ressent plus qu’on ne les entend. Il émane la vie… la vraie vie!

Ce matin, en parcourant rapidement mes courriels, je suis tombée sur le titre d’un documentaire, publié par Nouveau Paradigme, qui a attiré mon attention. N’ayant pas le temps de le visionner, je l’ai mis de côté. Puis j’ai reçu un courriel d’un ami Français, qui me connait très bien, pour avoir vécu au Québec quelques années. Il m’envoyait le lien de ce même documentaire qu’il savait que j’aimerais csr c’est gens parlent le même langage que « les extras » dont je parle régulièrement. Il n’en fallait pas plus pour que je le regarde en début de soirée.

Vous vous souvenez de la dernière fois où vous avez mangé quelque chose de si bon que vous en fermiez les yeux de plaisir pour mieux le savourer? Eh bien, ce documentaire m’a fait le même effet, car les quelques personnes qui prennent la parole sont vibrants d’authenticité! Je n’avais cependant pas envie de fermer les yeux car juste ;a regarder, on voit bien que ces individus parlent de ce qu’ils vivent. C’est du bonheur de ressentir ces gens! Bon, je vous avouerai que j’ai un gros gros coup de cœur pour Laurent Elie Levy, l’homme à la chemise lignée bleu et blanc, qui rayonne littéralement, tant il est enthousiaste, vrai et connecté! Ahhh que c’est rassurant d’entendre parler ces gens! Chaque fois que je fais de telles rencontres, une petite voix me dit « tu vois bien que tu n’es pas seule sur cette planète! » 🙂

Alors sans plus tarder, je vous laisse savourer ce documentaire des productions Tistrya intitulé LA PUISSANCE DE L’INTENTION. Plus bas, si vous en voulez encore, vous trouverez la bande-annonce du prochain documentaire des productions Tistrya intitulé ÉTATS MODIFIÉS DE CONSCIENCE.

Bande-annonce de leur prochain documentaire qui sortira au printemps 2016:

www.tistryaproductions.com

 

Le ronron du chat, un câlin qui guérit

Le chat est comme un violoncelle dont la... (Photo : Relaxnews)

Le chat est comme un violoncelle dont la musique s’amplifie en fonction de la taille de sa cage thoracique, qui fait office de caisse de résonance. Le ronron vient du larynx et ses vibrations sont un signe d’apaisement entre chats.

Agence France-Presse

Le stress, l’insomnie ou l’anxiété peuvent aussi se soigner ponctuellement sans médicament grâce au ronronnement du chat, aux vertus thérapeutiques vantées par leurs maîtres et les professionnels animaliers.

Jean-Yves Gauchet, vétérinaire à Toulouse, qui revendique la paternité en France de la «ronron thérapie», assure que le ronronnement «apaise» et agit comme «un médicament sans effet secondaire».

«Quand l’organisme lutte contre des situations pénibles, comme le stress, le ronronnement du chat émet des vibrations sonores apaisantes et bienfaisantes, un peu comme la musique», explique-t-il.

Le chat est alors comme un violoncelle dont la musique s’amplifie en fonction de la taille de sa cage thoracique, qui fait office de caisse de résonance. Le ronron vient du larynx et ses vibrations sont un signe d’apaisement entre chats.

«C’est le premier signal que la mère envoie à son petit, un appel de reconnaissance et d’apaisement qui fonctionne aussi avec l’homme», affirme le vétérinaire.

L’homme perçoit le ronron par son tympan, mais pas seulement.

«C’est par le tympan, mais aussi les corpuscules de Pacini, des terminaisons nerveuses situées au ras de la peau, que nous percevons le ronron qui émet des fréquences basses, entre 20 et 50 hertz. Des pensées positives et de bien-être sont alors transmises à notre cerveau», explique-t-il.

Et les vertus des chats, qui sont près de 11 millions dans les foyers français, ne se limitent pas au ronronnement.

«Le chat est un éternel bébé qui aime se faire cajoler et ne demande qu’à jouer et dans certains cas il comble un manque affectif pour ceux qui n’ont pas d’enfant», déclare-t-il.

Bars à chats au Japon

Victoria Houssay, 22 ans, est «rassurée et détendue» par la présence de Memphis, son troisième chat.

«Quand il ronronne sur mon ventre, je suis calme et détendue», confie la jeune femme. «Il vient de lui-même quand je suis triste, fatiguée ou malade et ça me fait du bien».

Dans les maisons de retraite acceptant les animaux, les chats réconfortent les résidents, confient les encadrants.

«Une de nos clientes souffre d’un trouble du comportement et seule la présence de son chat l’apaise, il l’aide à l’endormissement», témoigne Bruno Hardy, cadre de santé à la maison de retraite «Richard» à Conflans-Saint-Honorine (Yvelines).

Journaliste santé, Véronique Aiache a consacré un ouvrage à «La ronron thérapie», aux éditions Guy Trédaniel.

«C’est un puissant anti-stress, régulateur de la tension artérielle, boosteur des défenses immunitaires et un soutien psycho-moteur» note-t-elle rapportant les résultats d’une étude menée dans les années 1950 par le corps médical américain.

«À fracture égale, le chat se rétablit trois fois plus vite que tout autre animal. Les vibrations émises par le ronronnement ont d’ailleurs été reproduites par des kinésithérapeutes pour accélérer la cicatrisation osseuse», raconte-t-elle à l’AFP.

Au Japon, il existe même des «bars à chats», où les clients viennent se détendre après le travail, en buvant un thé tout en caressant les animaux.

La complicité entre le chat et l’homme trouve ses racines dans l’agriculture lorsqu’il faisait fuir les nuisibles il y a plusieurs millénaires.

Jean-Denis Vigne, chercheur au CNRS et archéologue, dit avoir découvert lors de fouilles à Chypre en 2005 les traces les plus anciennes d’une association entre l’homme et le chat «au sens affectif».

«Une sépulture d’un homme associée à un squelette de chat datant de 8.500 ans avant notre ère tend à prouver leur association dans la vie et dans l’au-delà», estime-t-il.

Source: Cyber-Presse