Rendons-nous sur Mars

Un vidéo qui nous montre le voyage d’un robot jusque sur Mars. On a l’impression d’y être pour vrai, tellement le montage est bien fait… mais… parce qu’il y a un « MAIS »… Regardez le vidéo et devinez ce qui dérange…

Hey oui… ce qui dérange ce sont toutes ces pièces qui sont relâchées dans l’espace au fur et à mesure du voyage. Nous n’avons pas assez de polluer notre planète, nous polluons en plus l’espace! L’expression anglophone « THE SKY IS THE LIMIT » vient de changer pour l’Univers est la limite!!!

Toutarmonie

21 décembre 2012, fin ou début?

Qu'a changé cette prophétie maya dans nos vies?
Qu’a changé cette prophétie maya dans nos vies?

Nous y voilà! Dans cinq jours, ce sera la fin du calendrier maya. Toutes les prédictions furent écrites. Certains n’y croient pas. Certains y croient dur comme fer. D’autres sont perplexes… À en juger toutes les blagues qui circulent, les nombreux décomptes et les commentaires des gens sur Facebook, il est clair que le 21 décembre ne laisse personne indifférent. En ce moment même, alors que je vous écris d’un petit café sur la grande place, il y a des gens à deux tables de moi qui parlent de la fin du monde assez fort pour que je les entende!

Qui ne s’est pas fait dire en parlant d’une date ultérieur au 21 décembre, « mais  non, parce que ce sera la fin du monde! » À l’école de ma fille, plusieurs enseignants font des blagues avec cela. « Maman! Réalises-tu que le 21 décembre, je serai à l’école? » Sur le web, ça fourmille! Partout, les gens en parlent.

Météo du 21 décembre 2012
Météo du 21 décembre 2012

Tous se souviennent du bogue de l’an 2000 qui ne fut pas ce qu’on redoutait. Donc concernant le 21 décembre, comme en ce jour du 16 décembre 2012, la Terre continue de fonctionner et que les gens vaquent à leurs occupations comme d’habitudes, avec le rush traditionnel des fêtes plusieurs se disent que cela ne changera rien… tout en se demandant si

fin du monde maya

Et les possibilités sont tellement grandes (tempête solaire intense, météorites, collision avec une naine brune, alignement planétaire, tsunami, inondation monstre, volcans, super volcans, méga séismes, accidents nucléaires, invasion d’extra-terrestres, crash économique, guerres, pannes d’électricité généralisée, épidémie…) qu’à un moment donné, ça n’a plus de bon sens.

fin du monde faut il y croire

Combien d’entre vous se sont demandés ce qu’ils feraient de leur vie avant, si cela devait se terminer le 21 décembre? Que regretteraient-ils de ne pas avoir fait? Combien de gens ont changé leurs habitudes? Car cette prophétie maya n’est pas arrivée seule… Nostradamus abonde dans le même sens… ainsi que de nombreux médiums plus crédibles que d’autres. Même les scientifiques prédisent, car la Terre nous parle. Les animaux meurent en masse. En parallèle, pour peu que nous soyons à l’écoute, les témoignages et vidéos passent même aux bulletins de nouvelles partout dans le monde concernant des objets volants non identifiés, des lumières qui dansent, des sons étranges, sans parler des catastrophes qui se multiplient, des séismes qui sont de plus en plus nombreux, des volcans qui se réveillent à tour de rôle, comme si la Terre vivait un méga « WAKE-UP CALL ». Rien qu’ici au Québec, dans les alentours de Montréal et ses banlieues, région où les séismes de forte intensité sont choses rares, j’ai été témoin de trois d’entre eux en moins d’un an!!!

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Et si vous êtes là à vous demander si la fin du monde arrivera le 21 décembre 2012, c’est que vous n’avez pas encore compris que le monde tel que nous le connaissions est déjà en train de changer. Et cela ne s’arrêtera pas demain, ni le 21 décembre… Nous sommes déjà dedans! Cette conscience collective qui se questionne, cela aussi apporte des changements.

fin du monde

Le pire, ce ne serait pas la fin du monde! Ce serait que rien ne change… car nous allons tout droit vers un mur. Et chacun de nous devrait se préparer à contribuer à ce changement en se changeant lui-même, en créant des projets, en osant, en dénonçant également ce qui ne devrait exister. Oui, cela implique indéniablement des renoncements , mais comme on dit, nous ne pouvons faire des omelettes sans casser d’œufs! À titre d’exemple, dimanche passé nous avons pu voir au Québec le reportage « LA FACE CACHÉ DE LA VIANDE« … et  j’ai eu de nombreuses conversations avec des carnivores qui furent touchés par ce qu’ils ont vu et entendu et qui ne sont pas insensibles à ce que nous faisons subir aux animaux. Les gens veulent de plus en plus changer, et cela est tant mieux. Regardez ce court vidéo… et dites-moi que vous avez envie de manger ceci? Dites-moi que vous voulez participer à cela? Dites-moi que vous ne voulez rien changer sincèrement?

Qu’attendons-nous? Le 21 décembre? Que des êtres plus évolués viennent d’une autre planète pour nous tenir la main? Ne viendraient-ils pas plutôt nous botter le derrière en voyant ce que nous avons fait de notre maison la Terre?

Et nous serons-là, à faire le décompte… et à espérer un changement… ou à le craindre, selon les gens… à nous demander ce qu’il adviendra après cette date? Et si aucun changement visible se produit, que ferez-vous? Que changerez-vous?

Et si une partie de ce monde disparait, car je ne crois pas à la fin DU monde… et pas nécessairement le 21 décembre… je vous souhaite bon voyage là où vous irez et à plus tard si je dois vous y rejoindre… et ceux qui resteront, bon courage pour faire les choses autrement! 😉

Souhaitons tout simplement que des êtres plus évolués viennent nous montrer le chemin puisque nous semblons si primitifs…

extrat

L’intriguante histoire de Elizabeth Klarer

Je vous partage ici le texte que m’a envoyé un ami. À vous d’utiliser votre jugement, mais je trouvais ce texte suffisamment intéressant pour le partager avec vous. Cela suscite la réflexion assurément…

L’étrange destin d’Elizabeth Klarer

Parmi les grandes aventurières qui inspirèrent les hommes à travers les siècles, la mystérieuse et fascinante sud-africaine Elizabeth Klarer est peut-être celle dont le destin fut le plus étrange. Elle naquit en 1910 à Mooi River, dans la province reculée du Natal et passa son enfance dans une ferme isolée où elle apprit très jeune et de façon totalement autodidacte à communiquer avec les Zoulous et à parler leur langue. Puis ses parents l’envoyèrent en Angleterre pour y faire ses études. Elle manifesta bien vite de stupéfiantes aptitudes dans les disciplines les plus variées : à l’âge de 20 ans, elle jouait à la perfection de plusieurs instruments de musique, était capable de piloter des gros avions et avait déjà atteint la notoriété en tant qu’environnementaliste. Durant la seconde guerre mondiale, elle travailla à la fois au décodage de certains messages cryptés de l’état-major allemand pour le compte de l’armée britannique et à un programme de recherche ufologique financé par le gouvernement sud-africain.

En 1955 et 1956, une soucoupe volante survola à plusieurs reprises sa ferme au Natal, où elle était retournée s’installer après la guerre, et en 1957, alors qu’elle  effectuait une randonnée sur le haut plateau de Cathkin Peak, dans la région de Drakensberg, elle se retrouva nez à nez avec un grand être blond et de noble prestance qu’elle connaissait déjà pour l’avoir vu, au cours de l’un de ses flashs médiumniques, en train de piloter la soucoupe qui avait survolé sa maison l’année précédente.

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Vue de Cathkin Peak

Il se présenta à elle sous le nom d’Akon et lui indiqua qu’il venait de Méton, une planète appartenant au système de Proxima du Centaure. Celui qui allait devenir le père de l’un de ses trois enfants l’invita alors à le suivre à bord de son engin. Puis elle disparut totalement de notre monde durant près d’un an.

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Akon

À son retour sur la Terre, elle était enceinte de quatre mois. Durant les semaines qui suivirent, elle ne cessa d’être harcelée, car une personne indélicate de son entourage avait transmis des informations sur son mystérieux voyage à la fois à la CIA et aux services secrets russes. Ces derniers voulaient absolument s’emparer du futur enfant des étoiles qu’elle portait en elle. Ils essayèrent même de la kidnapper, mais elle parvint de justesse à leur échapper. Elle avait appris à communiquer tétépathiquement avec les Métoniens et demanda alors à Akon de revenir la chercher ; puis elle accoucha de leur enfant, Ayling, sur la planète Méton. Mais elle avait du mal à s’acclimater aux vibrations élevées du champ magnétique de cette lointaine planète, et dut finalement se résoudre à revenir définitivement sur la Terre.

Akon et son fils demeurèrent cependant en contact avec elle sous forme de rencontres télépathiques et de matérialisations holographiques jusqu’à son départ définitif en 1994. Tous les épisodes de sa vie sont retranscrits dans son livre Beyond the Light Barrier (Au-delà de la Barrière de Lumière) qui n’a malheureusement jamais été traduit en français.

Depuis son retour sur la Terre, le Département britannique de la Défense a toujours manifesté un intérêt particulier pour les expériences d’Elizabeth Klarer et son histoire a attiré l’attention des gouvernements de plusieurs autres pays, en particulier ceux des États-Unis, de l’Allemagne et de la Russie.

En 1975, elle fut applaudie à Wiesbaden par un groupe de scientifiques représentant 22 nations après avoir donné une conférence sur les propriétés de la lumière. Elle prononça d’autres discours qui suscitèrent également l’enthousiasme, aussi bien aux Nations Unies qu’à la Chambre des Lords. Elle avait commencé la rédaction d’un second livre intitulé Les Fichiers de la Gravité avant d’être emportée par une longue maladie en 1994. Son histoire continue aujourd’hui de faire rêver et d’inspirer de nombreux spiritualistes tout en demeurant un mystère, voire une énigme dérangeante pour certains esprits cartésiens étriqués.

Voici quelques extraits inédits des deux dernières interviews qu’elle avait accordées juste avant de nous quitter.

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Elizabeth Klarer (1910 – 1994) : ci-dessus à l’époque de sa rencontre avec Akon,
et ci-dessous posant derrière son buste qu’elle avait elle-même sculpté peu avant sa mort.

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Question : Pouvez-vous nous décrire la soucoupe qui vous avait emmenée jusqu’à la planète Méton ?

Elizabeth Klarer : Elle était parfaitement circulaire et son diamètre était d’environ 6 mètres, avec une coque très large et un dôme aplati en son centre avec des hublots tout autour . Elle projetait un éclat argenté, qui ne provenait pas d’une réflexion de la lumière du Soleil, mais de son propre rayonnement. Lorsque ce type de vaisseau prend de la vitesse, le rayonnement s’intensifie et tout se met à briller et à scintiller. L’intérieur était splendide et éclairé d’une lumière douce et agréable dont on ne percevait pas la source. Les murs changeaient de couleur lorsque le système était mis sous tension, ils passaient du rose au jaune, puis au vert et au bleu.

Question : Y a-t-il une raison à cela ?

Elizabeth Klarer : Les soucoupes ont la possibilité de s’immobiliser dans l’espace ou au contraire de se déplacer quasi-instantanément d’un point à un autre de la trame universelle. Leur vitesse de déplacement est associée à des changements de fréquences qui ont une incidence sur leur structure chromatique. Les vaisseaux-mères fonctionnent suivant le même principe et irradient également de merveilleuses couleurs.

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Question : De combien de personnes était composé l’équipage de la soucoupe à bord de laquelle vous avez voyagé ?

Elizabeth Klarer : Ils étaient deux et ils étaient tous les deux astrophysiciens, mais l’un des deux était également biologiste ; il s’intéressait principalement à la faune et à la flore des planètes habitées qu’ils visitaient.

Question : Pouvez-vous nous donner des informations sur les techniques et matériaux utilisés pour construire ces vaisseaux ?

Elizabeth Klarer : Les vaisseaux sont créés dans l’espace par condensation de flux énergétiques. Puis ils sont ramenés jusqu’à la surface de la planète dont ils dépendent au moment de la finition intérieure. Mais l’essentiel du fuselage est formé dans l’espace de manière à optimiser sa conductivité énergétique.

Question : Un métal particulier est-il utilisé pour la construction ?

Elizabeth Klarer : Non cela n’a rien à voir avec du métal. Au niveau de l’aspect extérieur, cela ferait plutôt penser à de la porcelaine très fine. Mais la seule substance entrant dans la composition des vaisseaux est la lumière.

Question : Combien leur faut-il de temps pour construire un vaisseau ?

Elizabeth Klarer : Pour créer le fuselage complet, il leur faut l’équivalent d’environ 15 minutes de temps terrestre, le temps d’harmoniser leurs vibrations à celle de l’entité du futur vaisseau. Il est alors créé virtuellement. Il faut ensuite une quinzaine de jours pour le matérialiser complètement à partir de l’énergie cosmique naturelle.

Question :  Pourriez-vous nous dire quelques mots concernant le vaisseau-mère où vous avez voyagé ?

Elizabeth Klarer : C’est un immense vaisseau-cargo pouvant contenir environ 24 soucoupes ; chacune est prévue pour transporter deux personnes. Il avait la forme d’un cigare, mais son aspect variait en fonction de la lumière. Sous certains angles, il semblait même presque circulaire. Ces vaisseaux sont de véritables villes. Certains font plus de dix kilomètres de long et contiennent non seulement des maisons, mais des arbres, des fleurs et des lacs magnifiques.

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L’intérieur d’un vaisseau-mère

La plupart transportent des soucoupes qui servent en général de navettes, mais certaines de ces soucoupes ne sont que des hologrammes destinées à habituer les Terriens à l’existence des extraterrestres. Quand le vaisseau arrive à proximité d’une planète, il se positionne généralement en orbite géostationnaire à environ 1500 kilomètres de la surface. Il fonctionne en totale autarcie et peut accueillir au moins 5000 passagers. L’énergie auto-produite par le vaisseau suffit à la croissance et à la maturation des végétaux dont ils se nourrissent, à l’exclusion de tout aliment carné.

Question :  Peut-on voir ce qui se passe à l’extérieur du vaisseau depuis l’intérieur ?

Elizabeth Klarer : Non seulement on peut tout voir y compris à travers des obstacles solides et zoomer sur n’importe quel point de l’espace sans altérer la qualité des images, mais on peut obtenir le même résultat au niveau du son.

Question :  Les vaisseaux ont-ils de l’armement à leur bord ?

Elizabeth Klarer : Non, ils sont seulement équipés de déflecteurs qui leur permettent, en cas de nécessité, d’immobiliser d’éventuels projectiles, y compris des missiles.

Question :  Les membres de l’équipage du vaisseau-mère à bord duquel vous avez voyagé viennent-ils tous de Méton ?

Elizabeth Klarer : Ils appartiennent tous à la Fédération des Planètes qui regroupe la plupart des planètes et des lunes habitées de notre système solaire. Mais d’autres planètes sont actuellement en cours d’aménagement, notamment dans le système de Véga, en vue d’y accueillir des humains.

Question :  Comment sont les habitants de Méton par rapport aux Terriens ?

Elizabeth Klarer : Ils sont plus grands, plus beaux, plus évolués et plus pacifiques. Ils se vêtissent et se nourrissent de manière beaucoup plus simple et naturelle que nous, et ils vivent bien plus longtemps : jusqu’à plusieurs centaines d’années.

Proxima du Centaure ne produit aucun rayonnement susceptible de brûler la peau ou de perturber le fonctionnement de l’organisme. C’est pourquoi les Métoniens se contentent de vêtements de soie légers et agréables. Tout est gratuit et il existe des « fermes à soie » où chacun se sert librement selon ses goûts. Tout ce qui est nécessaire à la vie est disponible en abondance et il n’y a ni argent ni troc.

Question :  À quoi ressemble la planète elle-même ?

Elizabeth Klarer : Elle est légèrement plus grande que la Terre, recouverte de vastes mers, et les terres sont toutes des îles ; il n’y a pas de continents. Le climat est merveilleusement doux et la luminosité agréable. La végétation est luxuriante et les Éléments ne provoquent jamais de catastrophes ni de cataclysmes. Ils sont totalement sous contrôle des habitants qui ont des milliers d’années d’avance sur nous non seulement au niveau technologique mais surtout au niveau spirituel.

Question :  Pouvez-vous nous décrire l’organisation politique et sociale sur Méton ?

Elizabeth Klarer : Il n’y a ni lois ni argent ni système politique, car tout repose sur l’harmonie, le partage et la fraternité. Il n’y a ni criminels ni délinquants. Les Métoniens sont des êtres extrêmement doux, gentils et hospitaliers. Leurs maisons sont belles, lumineuses et construites à l’aide d’un matériau transparent qui les rend particulièrement confortables et accueillantes. Les médecins se consacrent exclusivement à des activités d’étude ou de recherche sur d’autres planètes, car il n’y a pas de malades chez eux. Ils n’ont pas d’ennemis et il n’y a aucun prédateur sur Méton. Leur principale préoccupation est que tout soit beau autour d’eux. Ils ont un sens artistique inné. Leur musique et leurs peintures sont merveilleuses. Ils affectionnent particulièrement les jardins fleuris, les papillons et les oiseaux avec lesquels ils communiquent télépathiquement.

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Les Métoniens n’utilisent ni livres ni ordinateurs et la plupart du temps ils communiquent non seulement avec leurs animaux mais également entre eux par télépathie, et c’est ainsi que se transmet l’éducation. C’est d’ailleurs de cette manière que se réalisent la plupart des échanges d’informations entre les êtres évolués qui habitent notre univers. Cette méthode m’a été enseignée par Akon. Il m’arrive d’être en relation harmonique avec leur vaisseau pour accompagner l’un des leurs à travers la barrière de lumière et traverser l’éther, avant de rejoindre la banque d’informations où ils stockent leurs connaissances.

Question : Comment se déroule la vie des femmes sur Méton ?

Elizabeth Klarer : Les femmes n’ont pas à accomplir les mêmes travaux que sur la Terre. La lumière se substitue à la force physique. Par exemple, la nourriture n’est pas cuisinée mais préparée grâce à la lumière. Les Métoniens sont moins nombreux que les Terriens. Mais il arrive à certains couples d’avoir beaucoup plus d’enfants. Cela provient de ce qu’ils vivent bien plus longtemps et peuvent continuer à avoir des enfants durant plusieurs centaines de nos années. Il n’y a aucun problème lié à l’âge. Ils recourent cependant souvent à des contraceptifs naturels, pour éviter de se retrouver confrontés aux problèmes récurrents de surpopulation que nous connaissons sur la Terre. Il n’y a ni mariages et ni divorces. Une fois qu’ils ont trouvé leur compagne ou leur compagnon, ils restent ensemble pour la vie, et si l’un des deux est victime d’un accident, il se réincarne et revient tout simplement dans la même maison poursuivre et terminer son incarnation au côté du même partenaire.

Question :  Vous avez mentionné l’existence de sept planètes autour de Proxima. Comment se nomment les autres ?

Elizabeth Klarer : Elles n’ont pas de noms, seulement des nombres harmoniques. Akon m’avait donné le nom de Méton pour faciliter nos communications personnelles. Mais les habitants de Méton n’utilisent  pas ce nom.

Question :  Que représente le temps pour eux ? Comment le mesurent-ils ?

Elizabeth Klarer : Ils ne se préoccupent pas du temps. De toute façon, leur système tristellaire ne leur permettrait pas de le faire, car il n’y a jamais de nuit ni de transition entre les journées sur Méton. Quand la plus petite étoile, Proxima (Alpha C), se couche, les deux autres soleils, Alpha A et Alpha B se lèvent. Ils sont plus éloignés de Méton que Proxima, mais beaucoup plus gros. Leur lumière produit sur Méton à peu près le même niveau d’ensoleillement que celui provenant de Proxima, malgré la distance plus grande et leur vibration moins rapide.

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Vision tristellaire

Question :  Je présume que Méton se trouve dans une dimension plus élevée que la Terre.

Elizabeth Klarer : Oui, mais c’est une dimension qui demeure proche de la matière. Ce n’est pas une dimension totalement spirituelle comme la cinquième.

Question :  Pour en revenir aux vaisseaux-mères, vous avez dit qu’ils sont construits dans l’espace. Comment cela est-il possible ?

Elizabeth Klarer : En réalité, il ne s’agit pas exactement de construction, mais plutôt de création. Ils sont créés dans l’atmosphère des planète puis assemblés sur les planètes elles-mêmes. Les plus anciens furent conçus y a des millions d’années et construits par des Vénusiens. Après avoir colonisé la Terre, ils comprirent qu’ils ne pourraient continuer à y habiter. Ils décidèrent alors de réaliser plusieurs immenses vaisseaux pour emmener le maximum de personnes ainsi que des spécimens de notre faune et de notre flore.

C’est en raison de la nature instable de notre Soleil et des cataclysmes qui se produisaient régulièrement sur la Terre que les Vénusiens décidèrent de la quitter. Ils se mirent alors en quête d’un système qui soit assez proche de notre système planétaire tout en étant mieux adapté à leur mode de vie et de pensée. C’est ainsi qu’ils découvrirent Proxima Centauri, qui était d’une étoile semblable au Soleil, mais bien plus âgée et donc beaucoup plus stable. Ils s’installèrent finalement sur Méton qui est actuellement la planète qui compte le plus de Vénusiens, parce qu’elle ressemble beaucoup à Vénus, telle qu’elle était à l’époque où ils y vivaient encore. Les conditions atmosphériques et climatiques y sont à peu près identiques, et surtout, son taux vibratoire est bien mieux adapté que celui de la Terre à leur niveau de conscience actuel. Ils ont cependant encore des bases sur la Lune, Mars et sous la Terre qu’ils continuent de visiter régulièrement.

Question :  Les Vénusiens ont-ils joué un rôle en Lémurie et en Atlantide ?

Elizabeth Klarer : Oui, Atlantis était leur base principale et ils en avaient une autre en Amérique du Sud. Les Incas étaient les descendants directs des anciens colons vénusiens. Il y avait également une base vénusienne dans la région de la Cordillère. Ils y sont restés jusqu’aux grands bouleversements de l’Atlantide qui ont profondément modifié la topographie des Andes : les éruptions volcaniques ont soulevé cette région. La partie la plus fertile est devenue aride et montagneuse. Il subsiste des vestiges de cette civilisation au bord du lac Titicaca et aussi sous le lac.

Question :  D’où vient le reste de la population terrestre, puisque vous dites que seule une petite partie est originaire de Vénus ?

Elizabeth Klarer : La population terrestre actuelle était à l’origine essentiellement composée d’indigènes autochtones descendant d’anciennes races issues de croisements génétiques, auxquels il faut ajouter un petit groupe d’anciens colons vénusiens qui choisirent de rester lorsque la majorité d’entre eux émigrèrent à destination de Proxima Centauri. Ceux qui ont choisi de rester l’ont fait pour pouvoir continuer à veiller sur la planète et aussi pour encadrer l’évolution des Terriens de souche terrestre.

Les Vénusiens cherchent actuellement à préserver la vie sur la Terre et à la réinsuffler non seulement sur la planète Vénus, qui était à l’origine parsemée de mers et recouverte d’une flore luxuriante comme l’est celle de Méton, mais aussi sur la planète Mars, car l’avancement technologique de leur civilisation et leur haut degré de spiritualité leur permet désormais d’accomplir la mission à laquelle ils se préparent depuis des milliers d’années : rendre la plupart des systèmes planétaires de notre galaxie habitables par des humains.

Question :  Comment cela est-il possible, puisque les scientifiques prétendent que le Soleil est en train de mourir ?

Elizabeth Klarer : Le Soleil n’est pas du tout en train de mourir, mais simplement de se transformer. Il produit actuellement plus d’énergie qu’il n’en absorbe et donc il se refroidit. Mais pendant que le Soleil se refroidit, Jupiter se réchauffe et s’embrasera dans un futur très proche. Notre système deviendra alors bistellaire, car Jupiter est en train de devenir une étoile. Il y aura bientôt deux Soleils dans notre ciel !

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Question :  Depuis combien de temps y a-t-il des hommes sur la Terre ?

Elizabeth Klarer : Les Terriens d’origine remontent à l’époque des dinosaures. Au moment de leur disparition, il y eut une période de très grande activité solaire. Le rayonnement ultraviolet détruisit une grande partie de la faune et de la flore. Les survivants des anciens autochtones, qui étaient peu nombreux, se réfugièrent dans des grottes, non pas pour se protéger du froid ni des prédateurs, mais pour se protéger de certaines radiations. Et ils ont survécu grâce à l’aide des Vénusiens.

Question :  Êtes-vous la flamme jumelle d’Akon et provenez-vous de la même conscience originelle, ou bien est-il pour vous une sorte d’âme-sœur avec laquelle vous avez déjà partagé d’autres existences ?

Elizabeth Klarer : Nous sommes tous deux originaires de la même planète et nous sommes tous deux des flammes jumelles depuis toujours, parce que nous avons la même conscience unitaire. Je me souviens parfaitement de mon existence précédente sur Vénus au côté d’Akon, et nous avons toujours vécu ensemble à travers les âges. Je n’avais jamais vécu sur la Terre jusqu’à cette présente incarnation.

Deux âmes-sœurs sont tout l’une pour l’autre, et aucun autre être au monde ne peut leur apporter la même plénitude. Tous les êtres que vous avez vous-même rencontrés depuis le commencement de vos multiples incarnations, tous les maris ou toutes les femmes que vous avez eus, tous vos anciens amants et toutes vos anciennes maîtresses vous ont quitté parce qu’ils ne vous étaient pas accordés harmoniquement. Vous avez peut-être été ensemble un moment, mais comme un pot et un couvercle qui ne s’adaptent pas. Tandis que deux âmes qui ont été conçues ensemble au sein de la grande Matrice originelle sont absolument faites l’une pour l’autre ; rien ne peut les séparer, pas même des années-lumière, et elles n’ont aucune crainte de l’être.

Lorsque, dans un couple, l’un ou l’autre a peur que l’on vienne séduire son partenaire – et rien en effet ne peut empêcher que cela se produise ! – c’est que ce partenaire n’est pas le bien-aimé véritable, l’âme-sœur. Une femme aime un homme, mais il l’abandonne ; un homme aime une femme, mais elle part avec un autre… Les âmes-sœurs, au contraire, se reconnaissent avec une certitude absolue et ne peuvent se quitter.

Il nous est cependant arrivé d’être séparés durant de courtes périodes. Ainsi, j’ai un travail à terminer ici et Akon en a un autre à accomplir sur sa planète. Ma mission consiste à expliquer la réalité extraterrestre, à parler de leur civilisation et à préparer les gens à leur future intervention sur la Terre. Je dois aussi leur expliquer ce qui risque de se produire si nous ne nous comportons pas correctement envers la nature.

Question :  Le niveau d’avancement des Métoniens semble tel que l’on aurait pu supposer qu’ils aient déjà dépassé le plan physique et qu’ils aient définitivement rejoint des plans de conscience plus spirituels. Pourquoi ont-ils encore des corps physiques comme les nôtres ?

Elizabeth Klarer : Il leur est ainsi plus facile de communiquer avec les civilisations qui évoluent dans la matière dense. Il n’y a d’ailleurs pas d’inconvénients pour eux à rester dans le plan physique : ils sont toujours en bonne santé ; ils ne subissent pas les effets négatifs du vieillissement. Par ailleurs, ils semblent apprécier la vie physique. Et ils sont libres de tout karma.

Extraits d’interviews d’Elizabeth Klarer
réunis et traduits par Olivier de Rouvroy
Juillet 2012

Source: L’avènement de l’ère nouvelle

Je n’ai pas lu son livre « Beyond the light barrier« , pas encore du moins, mais vous pouvez le trouver ici.

Funambules des étoiles

Je partage avec vous cette autre publication du Passeur. Un beau texte que je vous recommande…
Publié le 10 août 2011 par Le Passeur

Par le Passeur.

Ceux qui ne voyaient rien commencent à entrevoir et nous voilà arrivés à un point où il importe plus que jamais de discerner l’essentiel du superflu. Le superflu, c’est bien entendu l’attachement aux multiples manifestations de la dualité en soi, mais ce sont aussi toutes les prévisions et les hypothèses plus ou moins catastrophistes qui surgissent ça et là pour nourrir les incessantes questions de notre mental. Paradoxalement, ces questionnements ne sont pas inutiles s’ils nous aident à avancer vers la compréhension que nous pouvons finalement nous en passer. Ils ont été une étape nécessaire. Mais si nous demeurons attaché à vouloir en savoir toujours plus sur l’avenir qui se dessine, nous ne faisons qu’entretenir le mécanisme de la peur. C’est comme une drogue, tant qu’on en prend, on en crée le besoin en nous.

Il va y avoir de quoi créer toujours plus de questionnements dans les semaines et les mois à venir et il va y avoir de quoi alimenter les peurs du petit Moi si l’on persiste à garder la tête dans le guidon. Pour ceux et celles qui se sentent concernés, il faut impérativement bousculer ses habitudes, il faut prendre de l’altitude, appeler à se manifester en soi l’être divin que nous sommes, le Moi supérieur, le Soi, l’Esprit, peu importe le nom qu’on lui donne. C’est absolument indispensable dans la période de dissolution qui a débuté. Les sollicitations propices à nous tirer vers le bas vont être nombreuses tant extérieurement à travers les agitations du monde et l’apparition de l’inconnu, qu’intérieurement à travers les émotions qui ne seront pas maîtrisées avec sagesse. Tant pis si je me répète, mais plus que jamais il est bon de se ménager des parenthèses méditatives, des espaces intérieurs de paix (voir cet article). Chacun fera finalement ce qu’il doit, sera où il doit être, et sera ce qu’il est, mais, sans fatalisme, chacun peut veiller à ne pas se laisser entraîner dans la spirale des croyances et des peurs qui va tournoyer un temps dans le monde.

Dans la mesure où tout finalement semble se caler dans le temps sur les évènements astronomiques, la tendance générale est celle d’un déclenchement tardif de la dissolution. Les temps chaotiques seront donc finalement assez brefs. C’est plutôt une bonne nouvelle et c’est avec cette perspective à l’esprit qu’il sera plus simple de conserver un juste alignement avec notre ascendance divine. Rien de ce qui ressemble au chaos ne durera longtemps. Disons que cela durera juste assez pour donner l’ultime choix à chacun de savoir dans quelle perspective il se place. Celle de se réfugier dans la soumission qui sera proposée et de plonger ainsi dans des relents de déjà-vu, ou celle de recouvrer sa pleine liberté d’être humain et d’appeler à se manifester ici et maintenant en soi l’être suprême qui y réside. La réponse est au fond de chacun, car le choix est déjà fait depuis bien avant notre naissance et c’est sur lui que nous avons intérêt à nous aligner. Mais le libre-arbitre fera que nous jourons jusqu’au bout notre rôle, ou pas. Souvenez-vous, on a parié que oui.

Comment appeler en soi la sérénité lorsque tout autour ne ressemble plus à rien de ce que l’on pensait stable ? Peut-être en inversant par exemple la conception que nous avons de nous. Nous ne sommes pas un être fragile et vulnérable qui calque son équilibre sur celui apparent que l’extérieur nous impose, mais nous sommes une conscience dont l’essence est inaltérable et la forme impermanente dans un univers toujours mouvant. Le mouvement, le changement, l’évolution, est dans la nature de la vie. Et chaque phase de transition amène le chaos à qui n’y est pas préparé.

Nous sommes des funambules qui avons en nous la maîtrise des grands vents cosmiques sur lesquels nous nous déplaçons, nous sommes des êtres solaires venus apportés une certaine qualité de lumière dans la matière de nos chairs et de la terre que foulent nos pas. Teilhard de Chardin disait en son temps que « nous ne sommes pas des êtres humains vivant une expérience spirituelle, nous sommes des êtres spirituels vivant une expérience humaine. » Voilà bien quelque chose qu’il est bon d’avoir en mémoire pour conserver son alignement dans les temps actuels.

Rien de ce qui a une forme n’est stable et permanent dans l’univers. Tout est question de regard et d’angle de vue. On n’a pas la même manière de se sentir soi lorsqu’on envisage la vie comme un combat incessant à travers ses plaisirs et ses blessures dans un monde dont les rouages seraient inébranlables et notre capacité à les changer nulle, ou si l’on se rappelle que nous avons investi une vaste scène de théâtre planétaire qui tourne sur son axe à 1.700 km/heure et à près de 30 kilomètres par seconde autour du Soleil, qui lui-même file à 230 kilomètres par seconde autour de sa galaxie – la Voie Lactée -, qui elle même ‘tombe’ vers la galaxie d’Andromède à 90 km/s, étant l’une des 10.000 autres galaxies du même groupe local qui toutes filent à 45 km/s vers le centre de l’amas, lui même attiré à 600 km/s par l’amas de galaxie de la Vierge et le super-amas de l’Hydre et du Centaure. On parle là d’un petit bout d’univers en mouvement au sein de super-univers constituant des multi-univers. Qui sait jusqu’où s’étend cette horlogerie et jusqu’à quelles manifestations la vie prend forme ? Les êtres de lumière qui eux même nous enseignent ne le savent pas et c’est là toute la beauté de la Création. La perspective de soi en tout cas est bien différente selon l’angle de vue qu’on exerce. Et vu sous l’angle cosmique, seule la confiance, autrement dit la foi, est la bonne attitude pour demeurer serein.

Parce qu’il est en son ADN l’héritier de ses véritables origines, l’homme est puissant au sein de ces formidables engrenages cosmiques et son odyssée est merveilleuse. A celui qui se souvient de l’ampleur de son voyage au cœur de la Vie est donnée la force lumineuse qui de fait lui appartient. Celui-là boira du nectar qui lui fera traverser le chaos en dansant. Il n’est nulle infortune de ce monde des hommes qui l’atteindra, il n’est nul sentiment qui le fera vaciller. A ce stade de notre expérience terrestre, la recherche sincère et soutenue en soi de l’être suprême est l’essentiel. Le reste est le superflu. Et c’est en générant le plus d’amour en soi que l’on soutient l’avènement de notre divinité. La discorde, la peur, la convoitise, l’égoïsme et le jugement nous en ont éloigné assez longtemps. Nous ne nous le dirons jamais assez : tombons les vieux costumes usés par tant de dualité et reprenons notre habit de lumière. Toutes les excuses pour manquer de courage sont mauvaises, ce ne sont que jérémiades de l’ego qui aime se faire plaindre et capter ainsi l’énergie d’autrui. Il suffit de se souvenir un instant de qui nous sommes pour balayer toutes ses fadaises. Mais comme se souvenir n’est pas inné pour tous, ce qui est demandé est un acte de foi. Il est là le courage, celui qui est notre marche au pied du mur. La franchirons-nous ou avons-nous si peur de notre liberté ?

Cessons de nous poser des questions sur les formes de l’avenir. Lorsque certains évènements se seront déroulés et que chacun aura vécu durant la transition ce qu’il a choisi de vivre avant d’arriver ici-bas, bien des splendeurs nous seront rendues dont bon nombre reposent en toute quiétude sous nos pieds depuis des temps lointains. Il y a eu des Âges d’Or dans la très longue histoire – bien plus longue qu’il n’est dit – de l’humanité, ou devrais-je dire des humanités. Dans un laps de temps désormais court, bien des archives, des biens et des technologies de ces époques ressurgiront, car les temps seront venus où l’humanité sera prête à vivre un nouvel Âge d’Or et nous serons bien sûr aidés pour cela. Il n’y a pas à s’inquiéter car alors tous ceux qui parmi nous l’ont voulu avant de venir seront aux premières loges du grand spectacle de cette ascension et ceux qui ont pris l’option de persévérer dans des mondes de dualité pour y parfaire leur expérience y seront partis.

Il est clair que rien de ce qui représente les anciennes énergies n’aura sa place dans la nouvelle ère qui débute. Voyez certains des bébés qui naissent aujourd’hui, sentez ce qu’ils amènent avec eux, voyez ce qui brille dans leur regard. Aussi utopique que cela puisse encore paraître aujourd’hui, il n’y aura plus de discorde, il n’y aura plus de sentiment de séparation, nous ressentirons profondément ce que veut dire fraternité dans toutes les acceptions du terme. Et selon ce que nous désirons, après avoir fêté comme il se doit l’avènement du nouveau monde, nous y demeurerons pour y poser les pierres blanches qui brillent dans nos poches ou nous rentrerons chez nous, filant un peu partout et revenant souvent sur Gaïa, tel les funambules des étoiles que nous aimons tant être.

Fraternellement,

© Le Passeur – 10 Août 2011 – http://www.urantia-gaia.info

L’univers dans une goutte d’eau

Nous sommes préoccupés par nos quotidiens, et nos problèmes nous semblent parfois immenses… comme si c’était la chose la plus importante au monde. Pourtant…

… dans chaque goutte d’eau réside un univers aussi complexe et immense que l’univers que nous imaginons en regardant le ciel étoilé la nuit.

Dans le vidéo qui suit, on part d’un cerceau d’un mètre à Venise, et on agrandit x 10 à chaque fois, jusqu’au plus loin où l’homme a pu explorer jusqu’à maintenant. On refait ensuite le chemin inverse jusqu’à entrer dans une simple une goutte d’eau. Regardez bien! Vous verrez que tout cela est très similaire. En fait, l’humain n’a jamais découvert ce qu’on appelle la plus petite matière…

Notre monde est composé d’espaces, et ces espaces soutiennent tout ce qui existe…

Nous sommes « illusions »…

J’aime bien parfois imaginer que tout ce que nous connaissons du monde, je parle de l’Univers physique, n’est qu’une petite partie d’un animal immense vue de l’intérieur!

Extrait du film IMAX Cosmic Voyage