No Steak

no steak livreNon, ce n’est pas le titre d’un livre en anglais! Vous connaissez l’attirance des Français pour les mots anglophones… C’est Aymeric Caron, connu en France pour son travail de journaliste, qui vient d’écrire ce livre qui parle de végétarisme. Il est présentement ici au Québec pour promouvoir NO STEAK. Je l’ai entendu en entrevue dans mon auto, à Radio-Canada, ce qui m’a donné envie de lire son essai et je viens de visionner une de ses entrevues télévisées sur le web sur le plateau de Pénélope McQuade. (Si vous cliquez sur les liens, vous devriez pouvoir entendre ou visionner les entrevues en question, sauf peut-être si vous vivez hors Canada…)

AymericCaronJ’aime sa cohérence à cet auteur et sa manière de répondre patiemment à des questions pas toujours cohérentes. Il vient souvent au Québec (pour des raisons personnelles, hey oui, il semble amoureux d’une québécoise) et il expliquait qu’ici, le végétarisme est plus présent qu’en France. Il est facile de trouver des restaurants végétariens maintenant au Québec, alors qu’en France, c’est encore quelque chose de marginal. Que les gens sont plus ouverts… tant mieux pour nous, mais il reste encore beaucoup de travail à faire, ça je le confirme!

Je n’ai pas encore lu ce livre, mais il est sur ma liste de livres à acquérir prochainement. Pénélope McQuade a fait sourire tout le monde car elle a terminé l’entrevue en soulignant que dans le livre, il est mention d’une étude sérieuse voulant que les végétariens soient plus portés sur le sexe oral!!!!!!!Je sens que certains hommes se mettront peut-être à voir les végétariennes autrement que comme des extra-terrestres!!! 😉

Page Facebook de Aymeric Caron

Entrevue vidéo avec Aymeric Caron sur France 2

Vous pouvez en lire davantage sur le site du Point.fr

Toutarmonie

Un livre qui fait du bien

Voici un livre qui, s’il ne vous apprends rien, vous fera quand même du bien, parce qu’il viendra vous confirmer que vous n’êtes pas seuls de votre espèce! Je l’ai lu d’une traite hier, tant ces propos faisaient écho en moi. Je trouve il explique très bien certaines transformations et prises de conscience. Lui s’est retrouvé en Thaïlande, moi c’était en Indonésie…

Mais de telles prises de conscience peuvent se faire n’importe où. C’est certain que le défi est plus grand en pleine ville occidentale, mais je pense qu’une fois ces états d’être atteints, il faut arriver à les conserver où que nous soyons. Là est notre défi à tous…

Voici le dos de couverture:

Sur le chemin qui nous ramène sur notre île, mon cœur se réjouit du soleil, de la mer immense, des mouvements du voilier, des oiseaux qui nous survolent et de la beauté d’un ciel matinal parsemé de gros nuages ventrus. Le bonheur nous accompagne, il s’est accroché à moi un jour où je ne le cherchais plus vraiment, le jour où j’ai cessé de vouloir pour commencer à « être. » Lorsque l’on cherche le bonheur, il reste introuvable. Mais lorsque l’on s’approche de sa nature intérieure, de son essence, il vient alors à l’improviste et reste près de nous. Je l’ai compris lorsque j’ai franchi LA PORTE INTÉRIEURE.

Son auteur, Marc San, est né en 1953 à Sète, dans le midi de la France. Il s’intéresse très jeune à la spiritualité et de ce fait, n’a jamais cessé de rechercher la vérité: « Pourquoi sommes-nous ici bas? Quel est le but de la vie? Pourquoi tant de souffrances? » Après trente ans de recherche à travers les textes, les groupes spirituels, les arts martiaux et les voyages en Asie, il entrevoit enfin la source de la connaissance. Au cours d’un voyage intérieur, son âme lui révèle certaines vérités immuables. Depuis, il ne cherche qu’à affiner ce contact afin de ramener dans notre monde des principes pouvant être utiles à tous.

Télécharger-le gratuitement ici

Je n’ai pas lu ses autres livres, également disponibles sur son site, mais je vous laisse le lien pour y accéder ici.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai

Magnifique texte de Charlie Chaplin empreint de sagesse.


Le jour où je me suis aimé pour vrai,
j’ai compris qu’en toutes circonstances,
j’étais à la bonne place, au bon moment.
Et alors, j’ai pu me relaxer.
Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Estime de soi.

Le jour où je me suis aimé pour vrai,
j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle
n’étaient rien d’autre qu’un signal
lorsque je vais à l’encontre de mes convictions.
Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Authenticité.

Le jour où je me suis aimé pour vrai,
J’ai cessé de vouloir une vie différente
et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive
contribue à ma croissance personnelle.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle…la Maturité.

Le jour où je me suis aimé pour vrai,
j’ai commencé à percevoir l’abus
dans le fait de forcer une situation ou une personne,
dans le seul but d’obtenir ce que je veux,
sachant très bien que ni la personne ni moi-même
ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment…
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle…le Respect.

Le jour où je me suis aimé pour vrai,
j’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire,
personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie.
Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle…l’Amour propre.

Le jour où je me suis aimé pour vrai,
j’ai cessé d’avoir peur du temps libre
et j’ai arrêté de faire de grands plans,
j’ai abandonné les méga-projets du futur.
Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime
quand cela me plait et à mon rythme.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Simplicité.

Le jour où je me suis aimé pour vrai,
j’ai cessé de chercher à avoir toujours raison,
et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.
Aujourd’hui, j’ai découvert … l’Humilité.

Le jour où je me suis aimé pour vrai,
j’ai cessé de revivre le passé
et de me préoccuper de l’avenir.
Aujourd’hui, je vis au présent,
là où toute la vie se passe.
Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois.
Et cela s’appelle…la Plénitude.

Le jour où je me suis aimé pour vrai ,
j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir.
Mais si je la mets au service de mon cœur,
elle devient une alliée très précieuse !
Tout ceci, c’est… le Savoir vivre.

Charlie Chaplin

Prendre le temps de se connecter intérieurement

Je viens de terminer l’écoute du livre de Bernard Moitessier « La longue route ». Oui! Oui! Je l’ai écouté! Depuis l’été dernier, je désirais lire ce récit de voile d’un navigateur ayant fait le tour du monde en solitaire sur son voilier « le Joshua », sans jamais trouver le temps de le faire. J’ai finalement trouvé le livre en format audio à la Grande Bibliothèque, et j’ai pu, ainsi, l’écouter tout en travaillant (créant). Un livre à conserver dans sa bibliothèque personnelle et à relire, même si vous n’êtes pas un amateur de voile.

Il parle de la vie finalement… la VRAIE vie… et tout au long de son voyage, il en vient à se connecter intérieurement suffisamment pour ne plus avoir le même regard sur le monde… il parle à son « double » qu’il surnomme affectueusement son « frère ainé ». Il en vient à ressentir les éléments autour de lui au point de faire un, de ressentir les dauphins… etc.. Un petit bijou que je vous recommande.

Pour faire suite à ce merveilleux récit, je vous offre cette chanson « Hymne à la vie » de Michel Pépé, dans le même ton que ce livre, afin de contribuer à vous reconnecter intérieurement. Prenez le temps de l’écouter en regardant le diaporama, pour satisfaire votre curiosité, puis écoutez-le à nouveau en fermant les yeux, et en vous laissant porter par cet air. Vous verrez!

Femmes qui courent avec les loups

Une amie me disait ce soir que je lui faisais penser à la femme sauvage dont il est question dans ce livre FEMMES QUI COURENT AVEC LES LOUPS (de la psychanalyste Clarissa Pinkola Estes) qu’elle est en train de lire, et quelle me recommande. Je suis allée faire une petite recherche et j’ai trouvé ceci que l’auteur du livre a écrit:

Chaque femme porte en elle une force naturelle riche de dons créateurs, de bons instincts et d’un savoir immémorial. Chaque femme a en elle la Femme Sauvage. Mais la Femme Sauvage, comme la nature sauvage, comme l’animal sauvage, est victime de la civilisation. La société, la culture la traquent, la capturent, la musellent, afin qu’elle entre dans le moule réducteur des rôles qui lui sont assignés et ne puisse entendre la voix généreuse issue de son âme profonde.

Pourtant, si éloignées que nous soyons de la Femme Sauvage, notre nature instinctuelle, nous sentons sa présence. Nous la rencontrons dans nos rêves, dans notre psyché. Nous entendons son appel. C’est à nous d’y répondre, de retourner vers elle dont nous avons, au fond de nous-mêmes, tant envie et tant besoin. De par sa double tradition de psychanalyste et de conteuse, Clarissa Pinkola Estés nous aide à entreprendre la démarche grâce à cet ouvrage unique, parcouru par le souffle d’une immense générosité.

A travers les  » fouilles psycho-archéologiques  » des ruines de l’inconscient féminin qu’elle effectue depuis plus de vingt ans, elle nous montre la route en faisant appel aux mythes universels et aux contes de toutes les cultures, de la Vierge Marie à Vénus, de Barbe-Bleue à la Petite Marchande d’allumettes.

La femme qui récupère sa nature sauvage est comme les loups. Elle court, danse, hurle avec eux. Elle est débordante de vitalité, de créativité, bien dans son corps, vibrante d’âme, donneuse de vie. Il ne tient qu’à nous d’être cette femme-là.

Ça semble très intéressant et je vais très certainement le lire prochainement. Je vous en redonnerai des nouvelles.

Cliquez ici pour entendre un extrait audio qui explique le livre.

Et Didier Euzet a écrit cette chanson, inspiré du livre. Le vidéo est kitsch, mais les paroles sont intéressantes.

Merci Josée!