Plus de sacs et de bouteilles en plastique à Montréal

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Youppi!!! Les sacs de plastique seront interdits à partir de janvier 2018. C’est loin, mais déjà plusieurs commerces ont commencé, janvier 2018 étant la date limite. Prochaine étape annoncée… le bannissement des bouteilles d’eau en plastique à usage unique.

bouteilles-eauReportage vidéo de Radio-Canada ici.

Nouvelle au Journal La Presse ici.

Voici le communiqué de Presse du maire de Montréal:

Montréal, le 22 février 2016 – Le maire de Montréal, M. Denis Coderre, et le responsable du développement durable, de l’environnement, des grands parcs et des espaces verts au comité exécutif, M. Réal Ménard, ont annoncé le bannissement des sacs d’emplettes en plastique léger à Montréal à compter du 1er janvier 2018.

« Nous posons un geste fort aujourd’hui en annonçant ce choix réfléchi que fait Montréal de bannir les sacs de plastique légers dans les commerces de détail. La Commission sur l’eau, l’environnement, le développement durable et les grands parcs a pris soin de bien analyser les différents impacts et les enjeux environnementaux, économiques et sociaux. Avec cette interdiction ciblée qui laisse une période d’ajustement jusqu’au 31 décembre 2017, nous nous assurons de prendre les bons moyens pour le développement durable et la qualité de vie des Montréalais par une réduction à la source. Nous encourageons ainsi l’utilisation des sacs réutilisables ou plus résistants, un geste déjà posé par de nombreux Montréalais. D’ailleurs, la Ville de Montréal encouragera en parallèle plusieurs autres initiatives visant la consommation responsable, comme la réduction de la consommation des bouteilles d’eau en plastique, mais également le développement d’une filière de conception et de fabrication de sacs réutilisables au Québec », a déclaré le maire de Montréal, M. Denis Coderre.

Un bannissement qui comporte certaines exceptions

« Avec le nouveau règlement à être finalisé prochainement, la Ville vise le bannissement d’un certain type de sacs, soit ceux utilisés pour faire des emplettes et qui sont distribués ou vendus dans les commerces de détail. Il s’agit plus précisément des sacs légers (de moins de 50 microns) et des sacs de type oxo-dégradables, oxo-fragmentables, oxo-biodégradables et biodégradables. Je tiens à rappeler que ces sacs, a priori inoffensifs, ont des impacts importants au niveau de l’enfouissement tout comme sur nos écosystèmes vu leur volatilité, leur façon de se décomposer et le temps que ça prend pour une telle décomposition » a ajouté M. Ménard.

Notons que malgré ce nouveau règlement, certains sacs, pour des raisons d’hygiène, par exemple les sacs minces pour les fruits et légumes ou pour les médicaments, ne sont pas ciblés.

La Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) a également mis en place un comité de suivi qui travaillera à l’harmonisation de l’interdiction de l’utilisation des sacs d’emplettes en plastique à usage unique sur le territoire métropolitain et, au Québec, en collaboration avec l’Union des municipalités du Québec et la Fédération québécoise des municipalités. « Nous espérons que d’autres villes emboîteront le pas afin que l’interdiction de ces sacs se fasse à l’échelle du Québec » a déclaré M. Coderre.

D’ici la mise en vigueur du règlement, le 1er janvier 2018, la Ville de Montréal ira de l’avant avec des activités sensibilisation afin d’informer les citoyens, les commerçants et l’industrie du plastique des modalités du nouveau règlement et des solutions de rechange aux sacs d’emplettes en plastique léger.

« Nous savons que le Québec, notamment Montréal, a déjà eu un bon chemin de parcouru avec le Code volontaire des bonnes pratiques, mis en œuvre en 2008 et qui a mené à une réduction de 52% de l’utilisation des sacs de plastique. Je compte une fois de plus sur l’implication et la participation des citoyens, des commerçants et de l’industrie pour passer à une prochaine étape et assurer le succès de ce changement, faisant de Montréal une ville écoresponsable pour le bien de l’ensemble des Montréalais, de notre milieu de vie tout comme des générations à venir », a ajouté M. Coderre.

La Ville de Montréal a également annoncé l’année dernière son adhésion au National Zero Waste Council (NZWC), une organisation canadienne qui regroupe des particuliers, des organismes gouvernementaux, des entreprises, des industries et le secteur communautaire qui prônent l’atteinte du « zéro déchet ».

Ce point de presse est disponible à partir de la chaîne YouTube du maire de Montréal, M. Denis Coderre, à l’adresse suivante : http://bit.ly/1LekA8U

Toutarmonie

Pas dans ma cour

L'odeur des hommes 24x36En ce magnifique dimanche d’automne ensoleillé, nous pourrions facilement imaginer que nous sommes en plein été tant il fait chaud! Je profite donc de ce temps clément pour venir partager ma réflexion des derniers jours avec vous.

Ceux qui suivent mon blogue se posent des questions et/ou s’en sont posées. Conscients que les choses doivent changer, vous cherchez des informations afin de « voir et penser » autrement. Je suis comme vous, je n’échappe au lot. Tant d’absurdités! Tant d’abus de toutes sortes. Trop d’injustices. Puis, il y a notre planète, si petite dans cet immense univers. Petite, mais inter reliée avec tout ce qui existe, toute chose ayant sa place dans cet immense puzzle.

Alors, au début, on est outré de la manière dont on nous manipule, et de la façon dont notre société fonctionne. On s’informe de plus en plus, et on voit rapidement des choses qu’on ne voyait pas avant. Découragés, on se demande naturellement comment changer tant de choses! Notre « vision » change.  Le changement passe par la connaissance. On devient alors deTOXICITÉ  40x30 plus en plus sélectif sur ce qu’on consomme, sur ce qu’on lit, ainsi que ceux qu’on fréquente. On s’investit et à notre tour, on dénonce en espérant qu’il ne soit pas trop tard. Malgré tout, ces changements se feront à des rythmes différents en fonction des individus, selon notre rapidité à accepter, mais aussi en raison de notre capacité à lâcher prise sur de vieilles habitudes souvent néfastes. Puis il y a toute la question de reprogrammation.

Évidemment, nous sommes conscients que tout changement passe par nous-mêmes. Changeons-nous d’abord et le reste suivra, trop conscients que si nous attendons après les autres pour changer, rien ne se fera.

Des absurdités, il y en a des tonnes! Plusieurs personnes se sont ouverts des blogues et une page Facebook afin de les dénoncer (j’en fais partie). Il y a eu des manifestations, des regroupements écologiques et pacifiques. Il y a ceux qui comme moi se sont convertis au végétarisme afin de ne plus contribuer aux élevages intensifs et pour dire non à la maltraitance animale, soucieux également de ne pas absorber toutes les hormones, médicaments et vibrations de ces bêtes/esclaves. Certains se sont fait un jardin sans pesticides et tentent le plus possible de faire eux-mêmes leur repas, et cela le plus sainement possible. Il y a également ceux qui se sont construit une habitation dite écologique, et se sont tournés vers l’énergie solaire ou éolienne. Bref, je ne ferai pas l’énumération de toutes les actions prises par ceux qui ont accepté d’ouvrir leur conscience afin de faire les choses autrement, mais vous comprenez le principe. Changer n’est pas nécessairement facile, et cela pour plein de raison. Déjà que nous sommes souvent confrontés à la solitude, si en plus on veut faire un grand virage, cela demande une grande, que dis-je, ÉNORME force intérieure.

La semaine passée, j’ai eu l’occasion de discuter avec un chargé de projet pour une entreprise minière dont la mission est évidemment d’exploiter les ressources naturelles d’ici et d’ailleurs. Cette rencontre n’était pas dans le cadre du travail, mais nous en sommes venus tout de même à parler de nos boulots respectifs. Il me racontait que le milieu dans lequel il travaille n’a pas bonne presse… J’approuvais évidemment, et j’avais plusieurs questions que je tentais de retenir pour entendre ce que cette personne avait à dire sur le sujet, mon but n’étant pas d’attaquer, mais d’échanger.

Ils opèrent beaucoup en Afrique de l’ouest. Et là, vous me voyez venir avec mes questions… sur l’environnement, sur le respect de ces peuples, etc. Je lui ai même demandé ce que lui pensait des gaz de schiste. Vous savez quoi? Depuis cette rencontre, je ne vois plus les choses de la même manière… J’avoue que cela m’a bouleversée! Il ne le saura probablement jamais car je ne crois pas que je reverrai cette personne, mais cet échange de quelques heures a ébranlé certaines de mes certitudes.

Très au fait qu’on nous manipule, je n’écoute pour ainsi dire jamais la télé. Je ne fume pas. Je ne consomme plus de viandes. Je tente d’acheter des produits sains sans OGM et sans pesticides. J’achète chez le cultivateur quand cela est possible. J’évite les produits sur-emballés. Je dis non aux sacs de plastique. Je recycle évidemment, et quand cela est possible, je composte. Je consomme plus par besoin que par compulsion. J’évite les produits fabriqués en Chine parce que très souvent, ces produits ne respectent pas les normes et que j’encourage la fabrication locale. Je respecte de mon mieux l’environnement et je ne laisse pas tourner mon moteur inutilement. Je ne peux avoir mon jardin là où je vis actuellement.

Je vous écris présentement de ma cour arrière, et mon ordinateur repose sur une table en métal. Pardonnez mon ignorance sur la sorte de métal avec laquelle elle est conçue, mais chose certaine, ces minéraux ont dû être extraits quelque part. Idem pour les chaises. Je regarde mes doigts s’activer sur le clavier, et je vois deux bagues en argent que je porte à mes doigts. Ces minéraux-là aussi ont dû être extraits quelque part. Tiens, un trépied pour une plante… en métal. Votre alliance est en or? L’or provient d’une mine. Je devrai utiliser mon auto tantôt, et non seulement celle-ci est conçue à partir de métaux et de plastique, mais elle consomme également de l’essence, laquelle doit être extraite quelque part. Les rues sur lesquelles je roulerai sont faites de béton… d’autres minéraux qui doivent être extraits.

racine de vie 24x30Je suis contre l’exploitation des sables bitumineux qui est tellement polluante. Je m’oppose aux forages dans le fleuve Saint-Laurent car nos baleines sont déjà en voie de disparition. Je suis indignée quand j’entends parler des gaz de schiste. Pourtant, l’essence que j’achète pour alimenter mon véhicule fut extraite quelque part et très certainement, cela ne s’est pas fait sans créer un certain dommage à l’environnement, et c’est sans parler du voyagement que le pétrole doit faire pour se rendre jusqu’à moi! Ça me trouble également d’apprendre qu’il y a actuellement de l’exploration pétrolière sur l’île d’Anticosti et qu’il est question de faire voyager le pétrole sur le fleuve Saint-Laurent.

C’est lors de mon entretien que j’ai réalisé que nous nous donnons bonne conscience en faisant faire faire ailleurs ces forages et ces exploitations, car nous ne voyons pas les dommages que cela cause. Un peu comme ceux qui continuent de manger de la viande, et refusent de voir les nombreux vidéos qui dévoilent comment cela se passe avant que le steak se retrouve dans l’assiette. Chose certaine, une très grosse majorité de gens serait végétarienne si chaque personne devait tuer elle-même les animaux qu’elle mange! L’or ou l’argent qui sont extraits en Afrique ne nous choquent pas. Le pétrole foré dans les pays arabes ne nous empêche pas de dormir… car cela ne se passe pas dans notre cour! Par contre, quand on vient jouer sur notre fleuve, sur les terres environnantes et que cela détruit notre environnement, là on s’offusque! Pourtant, nous ne sommes pas prêts à nous passer de ces minéraux et produits de pétrole. Ne sommes-nous pas hypocrites, finalement?

Je demandais à mon interlocuteur ce qui en était des peuples là où ils exploitent les minéraux… Il m’expliquait que pour eux, la misère est telle que les emplois générés sont une bénédiction! L’entreprise s’implique dans la communauté, mais évidemment, il y a également la question de la rentabilité. Parfois, il serait possible de faire les choses autrement, plus écologiquement, mais à 3 fois ou 5 fois le coût… cependant, personne à l’autre bout de la chaîne n’est prêt à en payer le prix!

échangeur d'aire 30''X30''Cela m’amène à faire une association imagée… Avez-vous remarqué que les formats ont rapetissé? Les fromages de 500 gr sont maintenant 460 gr., les emballages semblent aussi gros, mais souvent il y a une rangée de moins du produit acheté! La crème venait autrefois en contenant de 250 ml et de 500 ml… maintenant le 500 ml est 473 ml! On s’offusque de cette supercherie… cependant, si vous discutez avec les gens autour de vous, vous verrez que plusieurs auront acheté le format moins cher à 473 ml au lieu de celui de 500 ml un peu plus dispendieux! Donc, si vous êtes une entreprise qui se respecte, et que vous n’embarquez pas dans cette vague de camouflage… vous risquez fort de voir une chute des ventes de vos produits qui peut mener à l’arrêt de votre entreprise! Donc, pour pouvoir rester dans la course, vous ferez comme les autres…! Et là, on ne parle que de crème et de biscuits!

Nous sommes tous responsables de cela… mais nous serons les premiers à nous en offusquer! Ce qui m’amène à dire que nous jugeons trop rapidement et ne pointons pas du doigt les bonnes personnes. Au lieu d’accuser les entreprises qui exploitent ces ressources dont nous ne savons pas nous passer, regardons les choses autrement et questionnons-nous sur nos habitudes individuelles! Il est si facile de ne pas se regarder!

Je me souviens avoir déjà fait circuler un vidéo d’un homme qui avait réussi à modifier une auto afin qu’elle fonctionne à l’eau plutôt qu’au pétrole! Wow, me disais-je!!! Et comme vous tous, je m’offusquais à l’effet que cela ne soit pas commercialisé déjà! Puis au printemps, je ne me souviens plus ce qui m’avait amené à cette réflexion, mais je me suis mise à imaginer ce que cela créerait comme réalité si nous devions faire rouler nos autos avec de l’eau! Vous imaginez la ruée vers l’eau, laquelle est un besoin vital pour chacun de nous? Combien de temps mettrions-nous avant d’épuiser complètement nos ressources? C’est alors que j’ai réalisé que cette avenue était impensable, même si celle-ci était moins polluante. Moins polluante à la sortie du tuyau, mais qu’adviendrait-il de nos lacs, de nos fleuves, de nos sources d’eau souterraines?

Rien n’est blanc et rien n’est noir. Mon contact de la semaine dernière m’expliquait que lui et son épouse, durant une période où ils vivaient en région éloignée, faisaient venir un demi camion de fruits et légumes bios et, par le biais d’un réseau qu’ils avaient créés, ils les distribuaient aux gens jusqu’à ce qu’ils se mettent à réfléchir à l’empreinte écologique de ces produits qui venaient essentiellement de Californie. Après quelques années, ils ont donc décidé d’acheter plutôt des produits frais aux agriculteurs locaux. Mais comme je disais, on a toujours un choix à faire et aucun ne semble idéal, car la raison pour laquelle on choisit de manger bio, c’est pour réduire la quantité de pesticides ingurgités, et éviter les OGM… pourtant, même les agriculteurs locaux utilisent les pesticides et plantent des semences modifiées génétiquement. Là, j’entends au loin un ami français qui a mis sur pied une fermette écologique qui me dirait que lui, il les fait pousser chez-lui. Il a même sa ruche d’abeilles. Oui, c’est vrai. Selon ses moyens et sa conscience, chacun fait ce qu’il peut pour faire les choses autrement, du moins c’est ce que nous devrions faire. Mais il n’existe pas de situation idéale. Ce même ami travaille pourtant lui aussi dans une entreprise qui utilise des minéraux et pour se rendre au travail, il utilise lui aussi son auto… donc au final… ce que je constate, c’est que le défi est ÉNORME!

Au Québec, on se vente d’avoir l’hydro-électricité, mais pour faire les barrages, il a fallu détruire, inonder de grandes étendues d’eau, et cela a fait ressortir des produits chimiques hautement toxiques qui se retrouvent maintenant dans notre eau potable! Rien n’est noir ou blanc.

Si on regarde cela planétairement, en tenant compte de ces pays émergents qui veulent avoir le privilège de consommer autant que nous… considérant le nombre croissant d’habitants sur la planète, il est clair que la mission des quelques dirigeants qui gouvernent le monde est de réduire la taille de la population mondiale, car à ce rythme, nous nous dirigeons tout droit dans un mur!

D’un point de vue individuel, il est vraiment temps de prendre du recul avant de nous offusquer, et de reconsidérer nos priorités! Nous devons regarder au-delà des apparences… et réfléchir un peu plus sur les conséquences de nos gestes et de nos besoins. Ce défi sera sans doute le plus grand, car à l’ère des selfies, les gens sont trop concentrés sur leur petite personne pour prendre le temps de ressentir leur environnement.

Le véritable changement ne viendra pas en pointant du doigt tout ce qui nous choque. Il viendra de notre capacité à créer intérieurement! Oui! oui! Entre nos deux oreilles! La vie m’a permis d’expérimenter que nous sommes créateurs de nos réalités. Donc ce à quoi nous croyons a un impact immense sur ce que nous vivrons. Le livre « Le secret » est basé sur ce principe. Cela rejoint également le principe du centième singe selon lequel les singes d’une île ayant appris à laver leurs patates avant de les manger, l’ont montré à d’autres, et ainsi de suite, jusqu’à ce qu’ils soient nombreux. Après un temps, même les singes des îles avoisinantes avaient commencé à laver leurs patates! Il existe une conscience collective… ce qui explique également pourquoi il n’est pas rare que deux personnes créent la même chose, car ayant capté le même courant. Donc, oui, plus nous deviendrons nombreux à penser autrement et à imaginer un monde meilleur, tout en passant à l’action de notre mieux, plus nous serons à même de voir des changements.

Cela dit, le défi est gigantesque!

Toutarmonie

Note:Les photos de cette publication sont des toiles acryliques réalisées par l’artiste Christian Duguay. Je vous invite à admirer ses œuvres sur son site web www.christianduguay.ca .

En symbiose avec la nature

rivière St-CharlesJe partage avec vous ma découverte du jour en pleine nature. Un parcours zen de 20 km le long de la rivière Saint-Charles au nord de la ville de Québec où les canards viennent nous saluer en caressant pratiquement notre embarcation, comme sur cette photo. C’était tellement zen! Un petit castor a nagé devant moi à un moment donné… Un endroit formidable pour pagayer dans un environnement paisible et ressourçant, pour ne pas dire enchanteur, que ce soit en kayak de mer ou en canot.

Il est possible de louer ces embarcations chez Canots Légaré, situé au bord de la rivière à la hauteur de Val Cartier. Cette entreprise familiale en est à sa 5e génération… ! Vous serez reçus avec des sourires et beaucoup de professionnalisme.

Et si pagayer n’est pas dans vos cordes, mais que vous aimez les randonnées, vous serez ravis de suivre le parcours du parc linéaire de la rivière Saint-Charles.

Voici des photos que j’ai trouvé de l’endroit sur le web.

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