Un magazine sain… pour une maison saine!

maison saine

J’en ai déjà parlé dans un de mes blogues, mais j’en reparle aujourd’hui car le magazine de la maison saine offre une intéressante promotion actuellement. C’est un magazine qui parle également de bio, de santé, et de ce que vous n’entendrez pas nécessairement à la télé…

Vous pouvez même recevoir votre magazine électroniquement, donc sans gaspillage de papier, ou un CD-rom contenant toutes les archives des numéros précédents de 1994 à 2012!

Voici leur promo durant les Fêtes:

Vous pouvez visiter leur site web en cliquant ICI.

Toutarmonie

Vers une énergie propre – Gaspésie-Les Îles : un pas de plus vers un parc éolien communautaire à Saint-Damase

Éoliennes Éolienne (archives)  Photo :  AFP

Une cinquantaine de personnes se sont présentées à la rencontre publique sur le projet de parc éolien communautaire, mardi soir, à Saint-Damase.

Le promoteur, Fleur de lis éoliennes Saint-Damase, une société en commandite dont sont partenaires la Municipalité et l’entreprise ontarienne Algonkin Power, ont exposé en détail le projet de 24 mégawatts (MW). Fleur de lis éoliennes Saint-Damase projette d’ériger huit éoliennes de 3 MW chacune sur les terres privées de la municipalité. Les éoliennes seraient peu visibles à partir de la route 132, mais elles le seraient davantage pour les villageois de Saint-Moïse et de Saint-Noël.

Selon l’étude d’impact, les éoliennes pourraient interférer avec les signaux de télévision en provenance de la station CBGAT de Matane, ce qui pourrait créer une image fantôme dans les écrans de quelques dizaines de résidences. En cas de problèmes, le promoteur prendrait des mesures correctives ou compensatoires adéquates pour permettre une réception satisfaisante.

Rentabilité du projet

Le projet rapporterait un peu plus de 70 000 $ par année en taxes à Saint-Damase, ce qui représente presque 10 % du budget municipal.

La Municipalité partagerait de plus les profits nets à parts égales avec Algonkin Power.

Le maire de Saint-Damase, Jean-Marc Dumont, se dit optimiste quant à la rentabilité du projet. « Dans le fond, explique le maire, il n’y a à vrai dire pas de risques financiers parce que notre prêt est garanti. Dans une année donnée, si on n’a pas assez d’argent pour payer capital et intérêt, on va payer juste ce qu’on va avoir comme revenus et le restant va être effacé par notre prêteur. »

Le maire Dumont refuse toutefois d’avancer un montant pour ce qui est des profits que la Municipalité pourrait réaliser.

Engagé dans une quarantaine de projets énergétiques en Amérique du Nord, estime pour sa part que les profits nets pourraient dépasser les 6 millions de dollars chaque année. Le porte-parole de l’entreprise, Joshua Gillespie, est lui aussi très optimiste : « Nous avons beaucoup confiance dans la ressource et dans le fournisseur Énercon qui va nous fournir les turbines. Nous avons beaucoup confiance dans le projet. »

La construction du projet de 72 millions de dollars pourrait être entreprise au printemps 2013. Le chantier créerait de 25 à 50 emplois pendant neuf mois. Le parc éolien pourrait être mis en service en décembre 2013. Le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement tiendra une séance d’information sur le projet le 2 octobre prochain.

Source: Radio-Canada

L’intriguante histoire de Elizabeth Klarer

Je vous partage ici le texte que m’a envoyé un ami. À vous d’utiliser votre jugement, mais je trouvais ce texte suffisamment intéressant pour le partager avec vous. Cela suscite la réflexion assurément…

L’étrange destin d’Elizabeth Klarer

Parmi les grandes aventurières qui inspirèrent les hommes à travers les siècles, la mystérieuse et fascinante sud-africaine Elizabeth Klarer est peut-être celle dont le destin fut le plus étrange. Elle naquit en 1910 à Mooi River, dans la province reculée du Natal et passa son enfance dans une ferme isolée où elle apprit très jeune et de façon totalement autodidacte à communiquer avec les Zoulous et à parler leur langue. Puis ses parents l’envoyèrent en Angleterre pour y faire ses études. Elle manifesta bien vite de stupéfiantes aptitudes dans les disciplines les plus variées : à l’âge de 20 ans, elle jouait à la perfection de plusieurs instruments de musique, était capable de piloter des gros avions et avait déjà atteint la notoriété en tant qu’environnementaliste. Durant la seconde guerre mondiale, elle travailla à la fois au décodage de certains messages cryptés de l’état-major allemand pour le compte de l’armée britannique et à un programme de recherche ufologique financé par le gouvernement sud-africain.

En 1955 et 1956, une soucoupe volante survola à plusieurs reprises sa ferme au Natal, où elle était retournée s’installer après la guerre, et en 1957, alors qu’elle  effectuait une randonnée sur le haut plateau de Cathkin Peak, dans la région de Drakensberg, elle se retrouva nez à nez avec un grand être blond et de noble prestance qu’elle connaissait déjà pour l’avoir vu, au cours de l’un de ses flashs médiumniques, en train de piloter la soucoupe qui avait survolé sa maison l’année précédente.

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Vue de Cathkin Peak

Il se présenta à elle sous le nom d’Akon et lui indiqua qu’il venait de Méton, une planète appartenant au système de Proxima du Centaure. Celui qui allait devenir le père de l’un de ses trois enfants l’invita alors à le suivre à bord de son engin. Puis elle disparut totalement de notre monde durant près d’un an.

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Akon

À son retour sur la Terre, elle était enceinte de quatre mois. Durant les semaines qui suivirent, elle ne cessa d’être harcelée, car une personne indélicate de son entourage avait transmis des informations sur son mystérieux voyage à la fois à la CIA et aux services secrets russes. Ces derniers voulaient absolument s’emparer du futur enfant des étoiles qu’elle portait en elle. Ils essayèrent même de la kidnapper, mais elle parvint de justesse à leur échapper. Elle avait appris à communiquer tétépathiquement avec les Métoniens et demanda alors à Akon de revenir la chercher ; puis elle accoucha de leur enfant, Ayling, sur la planète Méton. Mais elle avait du mal à s’acclimater aux vibrations élevées du champ magnétique de cette lointaine planète, et dut finalement se résoudre à revenir définitivement sur la Terre.

Akon et son fils demeurèrent cependant en contact avec elle sous forme de rencontres télépathiques et de matérialisations holographiques jusqu’à son départ définitif en 1994. Tous les épisodes de sa vie sont retranscrits dans son livre Beyond the Light Barrier (Au-delà de la Barrière de Lumière) qui n’a malheureusement jamais été traduit en français.

Depuis son retour sur la Terre, le Département britannique de la Défense a toujours manifesté un intérêt particulier pour les expériences d’Elizabeth Klarer et son histoire a attiré l’attention des gouvernements de plusieurs autres pays, en particulier ceux des États-Unis, de l’Allemagne et de la Russie.

En 1975, elle fut applaudie à Wiesbaden par un groupe de scientifiques représentant 22 nations après avoir donné une conférence sur les propriétés de la lumière. Elle prononça d’autres discours qui suscitèrent également l’enthousiasme, aussi bien aux Nations Unies qu’à la Chambre des Lords. Elle avait commencé la rédaction d’un second livre intitulé Les Fichiers de la Gravité avant d’être emportée par une longue maladie en 1994. Son histoire continue aujourd’hui de faire rêver et d’inspirer de nombreux spiritualistes tout en demeurant un mystère, voire une énigme dérangeante pour certains esprits cartésiens étriqués.

Voici quelques extraits inédits des deux dernières interviews qu’elle avait accordées juste avant de nous quitter.

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Elizabeth Klarer (1910 – 1994) : ci-dessus à l’époque de sa rencontre avec Akon,
et ci-dessous posant derrière son buste qu’elle avait elle-même sculpté peu avant sa mort.

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Question : Pouvez-vous nous décrire la soucoupe qui vous avait emmenée jusqu’à la planète Méton ?

Elizabeth Klarer : Elle était parfaitement circulaire et son diamètre était d’environ 6 mètres, avec une coque très large et un dôme aplati en son centre avec des hublots tout autour . Elle projetait un éclat argenté, qui ne provenait pas d’une réflexion de la lumière du Soleil, mais de son propre rayonnement. Lorsque ce type de vaisseau prend de la vitesse, le rayonnement s’intensifie et tout se met à briller et à scintiller. L’intérieur était splendide et éclairé d’une lumière douce et agréable dont on ne percevait pas la source. Les murs changeaient de couleur lorsque le système était mis sous tension, ils passaient du rose au jaune, puis au vert et au bleu.

Question : Y a-t-il une raison à cela ?

Elizabeth Klarer : Les soucoupes ont la possibilité de s’immobiliser dans l’espace ou au contraire de se déplacer quasi-instantanément d’un point à un autre de la trame universelle. Leur vitesse de déplacement est associée à des changements de fréquences qui ont une incidence sur leur structure chromatique. Les vaisseaux-mères fonctionnent suivant le même principe et irradient également de merveilleuses couleurs.

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Question : De combien de personnes était composé l’équipage de la soucoupe à bord de laquelle vous avez voyagé ?

Elizabeth Klarer : Ils étaient deux et ils étaient tous les deux astrophysiciens, mais l’un des deux était également biologiste ; il s’intéressait principalement à la faune et à la flore des planètes habitées qu’ils visitaient.

Question : Pouvez-vous nous donner des informations sur les techniques et matériaux utilisés pour construire ces vaisseaux ?

Elizabeth Klarer : Les vaisseaux sont créés dans l’espace par condensation de flux énergétiques. Puis ils sont ramenés jusqu’à la surface de la planète dont ils dépendent au moment de la finition intérieure. Mais l’essentiel du fuselage est formé dans l’espace de manière à optimiser sa conductivité énergétique.

Question : Un métal particulier est-il utilisé pour la construction ?

Elizabeth Klarer : Non cela n’a rien à voir avec du métal. Au niveau de l’aspect extérieur, cela ferait plutôt penser à de la porcelaine très fine. Mais la seule substance entrant dans la composition des vaisseaux est la lumière.

Question : Combien leur faut-il de temps pour construire un vaisseau ?

Elizabeth Klarer : Pour créer le fuselage complet, il leur faut l’équivalent d’environ 15 minutes de temps terrestre, le temps d’harmoniser leurs vibrations à celle de l’entité du futur vaisseau. Il est alors créé virtuellement. Il faut ensuite une quinzaine de jours pour le matérialiser complètement à partir de l’énergie cosmique naturelle.

Question :  Pourriez-vous nous dire quelques mots concernant le vaisseau-mère où vous avez voyagé ?

Elizabeth Klarer : C’est un immense vaisseau-cargo pouvant contenir environ 24 soucoupes ; chacune est prévue pour transporter deux personnes. Il avait la forme d’un cigare, mais son aspect variait en fonction de la lumière. Sous certains angles, il semblait même presque circulaire. Ces vaisseaux sont de véritables villes. Certains font plus de dix kilomètres de long et contiennent non seulement des maisons, mais des arbres, des fleurs et des lacs magnifiques.

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L’intérieur d’un vaisseau-mère

La plupart transportent des soucoupes qui servent en général de navettes, mais certaines de ces soucoupes ne sont que des hologrammes destinées à habituer les Terriens à l’existence des extraterrestres. Quand le vaisseau arrive à proximité d’une planète, il se positionne généralement en orbite géostationnaire à environ 1500 kilomètres de la surface. Il fonctionne en totale autarcie et peut accueillir au moins 5000 passagers. L’énergie auto-produite par le vaisseau suffit à la croissance et à la maturation des végétaux dont ils se nourrissent, à l’exclusion de tout aliment carné.

Question :  Peut-on voir ce qui se passe à l’extérieur du vaisseau depuis l’intérieur ?

Elizabeth Klarer : Non seulement on peut tout voir y compris à travers des obstacles solides et zoomer sur n’importe quel point de l’espace sans altérer la qualité des images, mais on peut obtenir le même résultat au niveau du son.

Question :  Les vaisseaux ont-ils de l’armement à leur bord ?

Elizabeth Klarer : Non, ils sont seulement équipés de déflecteurs qui leur permettent, en cas de nécessité, d’immobiliser d’éventuels projectiles, y compris des missiles.

Question :  Les membres de l’équipage du vaisseau-mère à bord duquel vous avez voyagé viennent-ils tous de Méton ?

Elizabeth Klarer : Ils appartiennent tous à la Fédération des Planètes qui regroupe la plupart des planètes et des lunes habitées de notre système solaire. Mais d’autres planètes sont actuellement en cours d’aménagement, notamment dans le système de Véga, en vue d’y accueillir des humains.

Question :  Comment sont les habitants de Méton par rapport aux Terriens ?

Elizabeth Klarer : Ils sont plus grands, plus beaux, plus évolués et plus pacifiques. Ils se vêtissent et se nourrissent de manière beaucoup plus simple et naturelle que nous, et ils vivent bien plus longtemps : jusqu’à plusieurs centaines d’années.

Proxima du Centaure ne produit aucun rayonnement susceptible de brûler la peau ou de perturber le fonctionnement de l’organisme. C’est pourquoi les Métoniens se contentent de vêtements de soie légers et agréables. Tout est gratuit et il existe des « fermes à soie » où chacun se sert librement selon ses goûts. Tout ce qui est nécessaire à la vie est disponible en abondance et il n’y a ni argent ni troc.

Question :  À quoi ressemble la planète elle-même ?

Elizabeth Klarer : Elle est légèrement plus grande que la Terre, recouverte de vastes mers, et les terres sont toutes des îles ; il n’y a pas de continents. Le climat est merveilleusement doux et la luminosité agréable. La végétation est luxuriante et les Éléments ne provoquent jamais de catastrophes ni de cataclysmes. Ils sont totalement sous contrôle des habitants qui ont des milliers d’années d’avance sur nous non seulement au niveau technologique mais surtout au niveau spirituel.

Question :  Pouvez-vous nous décrire l’organisation politique et sociale sur Méton ?

Elizabeth Klarer : Il n’y a ni lois ni argent ni système politique, car tout repose sur l’harmonie, le partage et la fraternité. Il n’y a ni criminels ni délinquants. Les Métoniens sont des êtres extrêmement doux, gentils et hospitaliers. Leurs maisons sont belles, lumineuses et construites à l’aide d’un matériau transparent qui les rend particulièrement confortables et accueillantes. Les médecins se consacrent exclusivement à des activités d’étude ou de recherche sur d’autres planètes, car il n’y a pas de malades chez eux. Ils n’ont pas d’ennemis et il n’y a aucun prédateur sur Méton. Leur principale préoccupation est que tout soit beau autour d’eux. Ils ont un sens artistique inné. Leur musique et leurs peintures sont merveilleuses. Ils affectionnent particulièrement les jardins fleuris, les papillons et les oiseaux avec lesquels ils communiquent télépathiquement.

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Les Métoniens n’utilisent ni livres ni ordinateurs et la plupart du temps ils communiquent non seulement avec leurs animaux mais également entre eux par télépathie, et c’est ainsi que se transmet l’éducation. C’est d’ailleurs de cette manière que se réalisent la plupart des échanges d’informations entre les êtres évolués qui habitent notre univers. Cette méthode m’a été enseignée par Akon. Il m’arrive d’être en relation harmonique avec leur vaisseau pour accompagner l’un des leurs à travers la barrière de lumière et traverser l’éther, avant de rejoindre la banque d’informations où ils stockent leurs connaissances.

Question : Comment se déroule la vie des femmes sur Méton ?

Elizabeth Klarer : Les femmes n’ont pas à accomplir les mêmes travaux que sur la Terre. La lumière se substitue à la force physique. Par exemple, la nourriture n’est pas cuisinée mais préparée grâce à la lumière. Les Métoniens sont moins nombreux que les Terriens. Mais il arrive à certains couples d’avoir beaucoup plus d’enfants. Cela provient de ce qu’ils vivent bien plus longtemps et peuvent continuer à avoir des enfants durant plusieurs centaines de nos années. Il n’y a aucun problème lié à l’âge. Ils recourent cependant souvent à des contraceptifs naturels, pour éviter de se retrouver confrontés aux problèmes récurrents de surpopulation que nous connaissons sur la Terre. Il n’y a ni mariages et ni divorces. Une fois qu’ils ont trouvé leur compagne ou leur compagnon, ils restent ensemble pour la vie, et si l’un des deux est victime d’un accident, il se réincarne et revient tout simplement dans la même maison poursuivre et terminer son incarnation au côté du même partenaire.

Question :  Vous avez mentionné l’existence de sept planètes autour de Proxima. Comment se nomment les autres ?

Elizabeth Klarer : Elles n’ont pas de noms, seulement des nombres harmoniques. Akon m’avait donné le nom de Méton pour faciliter nos communications personnelles. Mais les habitants de Méton n’utilisent  pas ce nom.

Question :  Que représente le temps pour eux ? Comment le mesurent-ils ?

Elizabeth Klarer : Ils ne se préoccupent pas du temps. De toute façon, leur système tristellaire ne leur permettrait pas de le faire, car il n’y a jamais de nuit ni de transition entre les journées sur Méton. Quand la plus petite étoile, Proxima (Alpha C), se couche, les deux autres soleils, Alpha A et Alpha B se lèvent. Ils sont plus éloignés de Méton que Proxima, mais beaucoup plus gros. Leur lumière produit sur Méton à peu près le même niveau d’ensoleillement que celui provenant de Proxima, malgré la distance plus grande et leur vibration moins rapide.

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Vision tristellaire

Question :  Je présume que Méton se trouve dans une dimension plus élevée que la Terre.

Elizabeth Klarer : Oui, mais c’est une dimension qui demeure proche de la matière. Ce n’est pas une dimension totalement spirituelle comme la cinquième.

Question :  Pour en revenir aux vaisseaux-mères, vous avez dit qu’ils sont construits dans l’espace. Comment cela est-il possible ?

Elizabeth Klarer : En réalité, il ne s’agit pas exactement de construction, mais plutôt de création. Ils sont créés dans l’atmosphère des planète puis assemblés sur les planètes elles-mêmes. Les plus anciens furent conçus y a des millions d’années et construits par des Vénusiens. Après avoir colonisé la Terre, ils comprirent qu’ils ne pourraient continuer à y habiter. Ils décidèrent alors de réaliser plusieurs immenses vaisseaux pour emmener le maximum de personnes ainsi que des spécimens de notre faune et de notre flore.

C’est en raison de la nature instable de notre Soleil et des cataclysmes qui se produisaient régulièrement sur la Terre que les Vénusiens décidèrent de la quitter. Ils se mirent alors en quête d’un système qui soit assez proche de notre système planétaire tout en étant mieux adapté à leur mode de vie et de pensée. C’est ainsi qu’ils découvrirent Proxima Centauri, qui était d’une étoile semblable au Soleil, mais bien plus âgée et donc beaucoup plus stable. Ils s’installèrent finalement sur Méton qui est actuellement la planète qui compte le plus de Vénusiens, parce qu’elle ressemble beaucoup à Vénus, telle qu’elle était à l’époque où ils y vivaient encore. Les conditions atmosphériques et climatiques y sont à peu près identiques, et surtout, son taux vibratoire est bien mieux adapté que celui de la Terre à leur niveau de conscience actuel. Ils ont cependant encore des bases sur la Lune, Mars et sous la Terre qu’ils continuent de visiter régulièrement.

Question :  Les Vénusiens ont-ils joué un rôle en Lémurie et en Atlantide ?

Elizabeth Klarer : Oui, Atlantis était leur base principale et ils en avaient une autre en Amérique du Sud. Les Incas étaient les descendants directs des anciens colons vénusiens. Il y avait également une base vénusienne dans la région de la Cordillère. Ils y sont restés jusqu’aux grands bouleversements de l’Atlantide qui ont profondément modifié la topographie des Andes : les éruptions volcaniques ont soulevé cette région. La partie la plus fertile est devenue aride et montagneuse. Il subsiste des vestiges de cette civilisation au bord du lac Titicaca et aussi sous le lac.

Question :  D’où vient le reste de la population terrestre, puisque vous dites que seule une petite partie est originaire de Vénus ?

Elizabeth Klarer : La population terrestre actuelle était à l’origine essentiellement composée d’indigènes autochtones descendant d’anciennes races issues de croisements génétiques, auxquels il faut ajouter un petit groupe d’anciens colons vénusiens qui choisirent de rester lorsque la majorité d’entre eux émigrèrent à destination de Proxima Centauri. Ceux qui ont choisi de rester l’ont fait pour pouvoir continuer à veiller sur la planète et aussi pour encadrer l’évolution des Terriens de souche terrestre.

Les Vénusiens cherchent actuellement à préserver la vie sur la Terre et à la réinsuffler non seulement sur la planète Vénus, qui était à l’origine parsemée de mers et recouverte d’une flore luxuriante comme l’est celle de Méton, mais aussi sur la planète Mars, car l’avancement technologique de leur civilisation et leur haut degré de spiritualité leur permet désormais d’accomplir la mission à laquelle ils se préparent depuis des milliers d’années : rendre la plupart des systèmes planétaires de notre galaxie habitables par des humains.

Question :  Comment cela est-il possible, puisque les scientifiques prétendent que le Soleil est en train de mourir ?

Elizabeth Klarer : Le Soleil n’est pas du tout en train de mourir, mais simplement de se transformer. Il produit actuellement plus d’énergie qu’il n’en absorbe et donc il se refroidit. Mais pendant que le Soleil se refroidit, Jupiter se réchauffe et s’embrasera dans un futur très proche. Notre système deviendra alors bistellaire, car Jupiter est en train de devenir une étoile. Il y aura bientôt deux Soleils dans notre ciel !

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Question :  Depuis combien de temps y a-t-il des hommes sur la Terre ?

Elizabeth Klarer : Les Terriens d’origine remontent à l’époque des dinosaures. Au moment de leur disparition, il y eut une période de très grande activité solaire. Le rayonnement ultraviolet détruisit une grande partie de la faune et de la flore. Les survivants des anciens autochtones, qui étaient peu nombreux, se réfugièrent dans des grottes, non pas pour se protéger du froid ni des prédateurs, mais pour se protéger de certaines radiations. Et ils ont survécu grâce à l’aide des Vénusiens.

Question :  Êtes-vous la flamme jumelle d’Akon et provenez-vous de la même conscience originelle, ou bien est-il pour vous une sorte d’âme-sœur avec laquelle vous avez déjà partagé d’autres existences ?

Elizabeth Klarer : Nous sommes tous deux originaires de la même planète et nous sommes tous deux des flammes jumelles depuis toujours, parce que nous avons la même conscience unitaire. Je me souviens parfaitement de mon existence précédente sur Vénus au côté d’Akon, et nous avons toujours vécu ensemble à travers les âges. Je n’avais jamais vécu sur la Terre jusqu’à cette présente incarnation.

Deux âmes-sœurs sont tout l’une pour l’autre, et aucun autre être au monde ne peut leur apporter la même plénitude. Tous les êtres que vous avez vous-même rencontrés depuis le commencement de vos multiples incarnations, tous les maris ou toutes les femmes que vous avez eus, tous vos anciens amants et toutes vos anciennes maîtresses vous ont quitté parce qu’ils ne vous étaient pas accordés harmoniquement. Vous avez peut-être été ensemble un moment, mais comme un pot et un couvercle qui ne s’adaptent pas. Tandis que deux âmes qui ont été conçues ensemble au sein de la grande Matrice originelle sont absolument faites l’une pour l’autre ; rien ne peut les séparer, pas même des années-lumière, et elles n’ont aucune crainte de l’être.

Lorsque, dans un couple, l’un ou l’autre a peur que l’on vienne séduire son partenaire – et rien en effet ne peut empêcher que cela se produise ! – c’est que ce partenaire n’est pas le bien-aimé véritable, l’âme-sœur. Une femme aime un homme, mais il l’abandonne ; un homme aime une femme, mais elle part avec un autre… Les âmes-sœurs, au contraire, se reconnaissent avec une certitude absolue et ne peuvent se quitter.

Il nous est cependant arrivé d’être séparés durant de courtes périodes. Ainsi, j’ai un travail à terminer ici et Akon en a un autre à accomplir sur sa planète. Ma mission consiste à expliquer la réalité extraterrestre, à parler de leur civilisation et à préparer les gens à leur future intervention sur la Terre. Je dois aussi leur expliquer ce qui risque de se produire si nous ne nous comportons pas correctement envers la nature.

Question :  Le niveau d’avancement des Métoniens semble tel que l’on aurait pu supposer qu’ils aient déjà dépassé le plan physique et qu’ils aient définitivement rejoint des plans de conscience plus spirituels. Pourquoi ont-ils encore des corps physiques comme les nôtres ?

Elizabeth Klarer : Il leur est ainsi plus facile de communiquer avec les civilisations qui évoluent dans la matière dense. Il n’y a d’ailleurs pas d’inconvénients pour eux à rester dans le plan physique : ils sont toujours en bonne santé ; ils ne subissent pas les effets négatifs du vieillissement. Par ailleurs, ils semblent apprécier la vie physique. Et ils sont libres de tout karma.

Extraits d’interviews d’Elizabeth Klarer
réunis et traduits par Olivier de Rouvroy
Juillet 2012

Source: L’avènement de l’ère nouvelle

Je n’ai pas lu son livre « Beyond the light barrier« , pas encore du moins, mais vous pouvez le trouver ici.

Pour extras en mal du pays!

Petit bijou de film qu’il est toujours agréable de revisiter… Ici la bande-annonce.

Et quand vous aurez regardé ce film, je vous invite à aller visionner le documentaire de Coline Serreau, l’actrice de la Belle Verte… Vous trouverez le documentaire en deux partie sur mon autre blogue en cliquant ici.

Où irez-vous si Fukushima explose?

Je vous retransmet ce texte de Jean-Marc Dupuis que j’ai trouvé sur 2012 un nouveau paradigme. Je suis vraiment contre la désinformation dont nous sommes nous témoins…
Ce n’est pas parce que nous n’entendons pas parler de quelque chose, qu’elle n’existe pas…

Tandis que le club des journalistes parisiens nous bombarde de gros titres sur le dernier tweet de Valérie Trierweiler (passionnant !), les mésaventures de Ségolène (navrant !), le départ de Laurence Ferrari (émouvant !) ou encore les déclarations des (ir)responsables Européens sur la crise des dettes publiques, la situation à Fukushima tourne à la catastrophe sans que cela ne mérite une ligne dans nos journaux ni même quelques secondes d’antenne.

Et pourtant, si l’objectif des journalistes officiels est de « vendre du papier » ou « faire de l’audience », puisque beaucoup d’entre eux ne s’en cachent même plus, parler de ce qui se passe réellement à Fukushima leur permettrait d’exciter les foules, à juste titre pour une fois.

Mais pour l’instant, c’est le silence… de mort.

Une question de survie de l’espèce humaine

Lorsque la centrale nucléaire de Fukushima fut ravagée par le tremblement de terre puis le tsunami en mars 2011, les autorités japonaises et les agences spécialisées dans le nucléaire ont eu une seule priorité : minimiser de façon obscène l’impact sanitaire de la catastrophe, pour empêcher tout mouvement de panique.

L’explosion d’une centrale nucléaire libère pourtant dans l’atmosphère une grande quantité de radionucléides radioactifs. Il en va de même des retombées radioactives après l’explosion d’une bombe atomique ou d’une « bombe sale ». L’un des composés radioactifs les plus communs est alors l’iode 131 (131I). Et c’est ce qui s’est passé à Fukushima (plus à ce sujet ci-dessous).

Par chance, il existe un moyen rapide, très efficace, très bon marché, et sans effets indésirables graves, d’immuniser votre organisme contre l’iode 131, ce qui n’est pas le cas des autres composés radioactifs (césium par exemple).

Il vous suffit de prendre, dans les deux heures qui suivent l’accident nucléaire, un comprimé d’iode, ou de vous badigeonner 2 mL de teinture d’iode sur la peau (1 mL pour les enfants). Si vous n’avez pas d’iode dans votre armoire à pharmacie, vous pouvez utiliser de la bétadine, en doublant la dose. L’application est à renouveler trois jours plus tard. De cette façon, vous saturez votre corps d’iode non radioactif et vous diminuez de 97 % votre absorption d’iode radioactif, et ce sans effets indésirables graves.

En effet, votre glande thyroïde est programmée pour emmagasiner et concentrer rapidement l’iode qui passe à sa portée. Si c’est de l’iode radioactif, votre thyroïde l’absorbera et vous serez exposé à des rayonnements internes, qui augmenteront votre risque de cancer de la thyroïde et de nodules bénins. Les enfants et les bébés sont encore plus vulnérables que les adultes.

Mais si votre thyroïde est déjà saturée d’iode non radioactif, alors votre corps n’en absorbera plus. Et vous pouvez obtenir ce résultat en vous badigeonnant de la teinture d’iode sur votre peau.

Cela ne coûte quasiment rien. Mais encore faut-il en avoir dans son armoire à pharmacie.

Attention, il existe des dangers à utiliser de la teinture d’iode, qui n’est pas un produit anodin. Il convient, avant de l’utiliser, de demander l’avis d’un médecin ou d’un pharmacien. Il ne faut pas l’associer à des antiseptiques à base de mercure. Les femmes enceintes et les bébés de moins d’un moins ne doivent pas l’utiliser sans avis médical. De même, toute personne qui présente une certaine sensibilité à l’iode, qui est atteinte d’une maladie thyroïdienne et qui souffre de troubles cardiaques ne devrait pas s’appliquer de teinture d’iode.

Il est vital d’agir rapidement

La rapidité d’administration de l’iode après une exposition à de l’iode radioactif est un facteur décisif d’efficacité. L’effet protecteur est de 97 % lorsque la teinture est administrée au moment de l’exposition, mais passe à 85 % une heure après, et à 50 % entre 3 et 4 heures après l’exposition. Après 6 heures, vous êtes « out ».

Pour ces raisons, il semble raisonnable de vous préoccuper aujourd’hui de mettre dans votre armoire à pharmacie une bouteille de teinture d’iode. Il ne vous en coûtera que quelques euros.

La bombe à retardement n’est pas du tout désamorcée

Contrairement à ce qu’ont reconnu les autorités au moment de l’accident, des dizaines de milliers de personnes au Japon et dans le Pacifique ont été affectées par les émissions de césium 137 radioactif suite au tsunami de mars 2011. Des déchets de la centrale de Fukushima ont été retrouvés jusque sur les côtes de la Californie. Alors qu’on craignait que l’accident fût pire que celui de Tchernobyl dans les jours qui suivirent, personne n’imaginait à quel point ce serait pire en effet.

Si les estimations actuelles sont exactes, Fukushima a déjà relâché autant de radiations dans l’atmosphère que Tchernobyl. La différence est que la société TEPCO et le gouvernement japonais n’ont pas voulu construire de sarcophage en béton autour de la centrale, comme ce fut fait par les soviétiques, à un coût humain il est vrai gigantesque.

Aujourd’hui, on se retrouve donc avec des installations nucléaires à nu, et le risque d’un désastre encore dix fois plus grand si un nouveau tremblement de terre devait se produire. Ce scénario est malheureusement probable dans cette région à forte activité sismique.

Nous sommes donc aujourd’hui à la merci de la nature. Le gouvernement japonais le sait, et prépare actuellement des plans pour l’évacuation totale de l’agglomération de Tokyo, un exode aux conséquences humanitaires apocalyptiques qui concernerait 40 millions de personnes ! En fait, d’immenses territoires aujourd’hui densément peuplés dans l’hémisphère nord deviendraient inhabitables, pour des siècles voire des millénaires.

Nier les faits ne sert à rien

Il n’existe aucun moyen de nier cette réalité. Prétendre que la menace n’existe pas ne peut ni écarter le danger, ni vous protéger vous et votre famille. Le seul effet sera de vous laisser démuni le jour où le désastre se produira.

Il faut que vous ayez en tête les faits suivants :

La centrale de Fukushima-Dai-Ichi contenait six réacteurs nucléaires. Le tsunami du 11 mars 2011 provoqua l’inondation des générateurs produisant l’électricité du système de refroidissement, ce qui entraîna, dans les jours qui suivirent, la fusion de trois réacteurs sur les six (« full melt down »).

Chacun d’entre eux va alors connaître des explosions d’hydrogène, qui détruiront leur toit et leur partie supérieure.

À partir de ce stade, des rejets massifs vont se produire dans l’atmosphère et l’environnement. Le gouvernement japonais prend alors une décision dramatique : demander que de l’eau de mer soit utilisée pour refroidir les réacteurs, ce qui acheva de les détruire complètement, et à relâcher des millions de litres d’eau contaminée dans le Pacifique.

La catastrophe fut donc classée au niveau 7 (le plus élevé) de l’échelle internationale des événements nucléaires.

Le cauchemar des piscines

Mais la pire menace actuellement concerne les « piscines ».

Il faut savoir que, dans une centrale nucléaire de type Fukushima, les barres de combustible usé sont stockées dans des piscines remplies d’eau. Ce combustible émet des rayonnements qui sont extrêmement dangereux pour l’homme et dégage une énorme chaleur. Dans les conditions normales, l’eau permet de bloquer les rayons, et de refroidir les barres de combustible usé. Des machines permettent en outre d’examiner les barres, de les déplacer, etc.

Le problème est que, suite à l’accident, le système de refroidissement a cessé de fonctionner, ce qui a d’abord produit l’évaporation de l’eau puis un incendie dans la piscine du réacteur n°4, produisant de nouvelles émissions de vapeurs radioactives. Les installations pour déplacer les barres ont été détruites. Aujourd’hui, plus aucun être humain ne peut s’approcher de ces piscines.

Une catastrophe imminente ?

Aujourd’hui, mardi 19 juin 2012, la radioactivité a tellement monté dans la piscine n°2 qu’il n’est plus possible de la mesurer. (Oui, vous avez bien lu : la radioactivité est trop forte pour être mesurée). L’eau étant en train de s’évaporer, la chaleur et les radiations pourraient augmenter fortement et déclencher de nouveaux incendies.

La piscine n°4 est à 30 mètres au-dessus du sol et elle est exposée à l’air libre. La structure qui l’entourait et qui la soutenait est fortement endommagée. Si un nouveau tremblement de terre se produisait et qu’elle s’effondrait ou se mettait à fuir, un incendie radiologique catastrophique se produirait qui pourrait provoquer des émissions de Césium dix fois supérieures à Tchernobyl.

Il est de plus impossible de retirer ces barres radioactives car le système prévu a lui aussi été détruit lors du tsunami. Les retirer avec une grue provoquerait des émissions de radiations destructrices, des incendies et potentiellement aussi des explosions, qui ne peuvent être évités qu’en les maintenant en permanence dans l’eau, dans des structures renforcées (ce qui n’a encore jamais été pratiqué nulle part, ajoutant une forte dose d’imprévisibilité à l’opération).

Certains scientifiques pensent même que l’effondrement des piscines serait si grave que l’ensemble du Japon devrait être évacué. Cela représenterait 125 millions de réfugiés, ce qui causerait un désastre humanitaire sans précédent.

Une des plus grandes accumulations de radioactivité de la planète

Avant que vous ne balayiez de la main ces informations en les attribuant à quelque réseau antinucléaire extrémiste, voici ce qu’a déclaré Robert Alvarez, haut conseiller à l’environnement et à la sécurité nationale au ministère de l’énergie des Etats-Unis (Senior Policy Adviser to the Secretary for National Security and the Environment for the US Department of Energy) :

« Le total des stocks de combustible nucléaire usé sur le site de Fukushima Daichi contient près de la moitié du montant total du Césium 137 libéré par tous les essais d’armes nucléaires dans l’atmosphère, Tchernobyl, et les usines de retraitement du monde entier (environ 270 000 000 curies ou 9,9 E +18 becquerels).

Il est important que le public comprenne que les réacteurs qui fonctionnent depuis des décennies, comme celui du site de Fukushima-Dai-Ichi, ont produit un des plus grandes accumulations de radioactivité de la planète. »

Les agences nucléaires du monde entier sont en alerte face à l’éventualité d’une nouvelle dégradation des réacteurs de Fukushima et des piscines de combustible usé, et des retombées radioactives qui s’ensuivraient. Une série d’explosions se produiraient qui entraîneraient des radiations dans l’ensemble de l’hémisphère nord, qu’il serait impossible de limiter.

Ne comptez pas sur les autorités pour vous « prendre en charge »

La morale de cette histoire est que, quoi que l’avenir nous réserve, ne comptez pas sur les autorités pour vous protéger, et encore moins pour vous « prendre en charge ».

Si, dans un domaine aussi crucial que la sûreté nucléaire, elles sont capables de laisser une telle catastrophe se produire (difficile de prétendre qu’au Japon, personne ne connaissait le risque de tremblements de terre et de tsunami…), et si elles sont capables de si mal gérer les conséquences, dites-vous bien qu’elles agissent de la même façon, et pire encore, dans d’autres domaines, y compris celui si crucial de la santé publique.

La réalité est que les experts des gouvernements ne sont tout simplement pas préoccupés, en premier lieu, par le bien public, et encore moins par votre cas particulier ou par le mien.

Pour eux, comme pour beaucoup de monde, la priorité est avant tout d’assurer leur propre avancement, leur propre prestige. Et s’il faut pour cela contribuer, de façon active ou passive, à mettre en place un système dangereux et inhumain, beaucoup, malheureusement, n’hésiteront pas. L’histoire l’a prouvé, et combien de fois.

Je vous tiendrai informé

Je continue à recevoir, au jour le jour, des informations exclusives de Fukushima. Vous serez donc parmi les premiers à être informé dès que ce produira un événement important, et sans que les informations ne passent par le filtre des agences officielles. Cela vous permettra, si vous le souhaitez, d’être parmi les premiers à réagir.

C’est ce qui fait, en général, toute la différence.

Bien à vous,

Jean-Marc Dupuis

Santé Nature Innovation

Manger vivant pour mieux vivre

À la fin de l’été 2011, mon docteur m’a rencontré pour me faire part des résultats de mon dernier test sanguin. Étant végétarienne, chaque année lors de ma visite annuelle, elle insiste pour vérifier que je ne manque de rien. Cela faisait sept ans que tout allait bien avec mon végétarisme…

Puis voilà qu’elle m’annonce que mon taux de vitamines B12 est dans la zone grise, à la limite de la carence! « Qu’est-ce que cela veut dire docteur? » Elle m’explique alors qu’une carence en B12 peut affecter la mémoire à court terme! Il n’en fallait pas plus pour que le soir même je passe à l’épicerie acheter des steaks pour ma fille et moi… car oui, le problème, c’est que le B12 se retrouve dans la viande rouge!!! Et quand on a vu sa grand-mère dépérir pendant plus de 10 ans à cause de l’Alzheimer, et évidemment d’en mourir, la mémoire est un sujet délicat. Alors sans hésiter, et en m’efforçant de ne pas penser à ce que je mangeais et du pourquoi je n’en mangeais plus, j’ai fait ce qu’il fallait pour remonter mon taux de B12 et rétablir le problème.

En fait, j’ai compris ce qui s’était passé… Au printemps dernier, un évènement personnel dans ma vie m’a coupé l’appétit pendant plusieurs mois! Je ne mangeais presque plus, et donc quand en plus on est végétarien, j’imagine que cela a encore plus d’impact sur notre corps. J’avais perdu beaucoup de poids… et m’alimenter devenait une véritable corvée.

Toujours occupée à rétablir l’équilibre dans ma vie depuis l’évènement du printemps 2011, j’ai remis à plus tard le problème du B12… et donc depuis ce temps, le végétarisme a prit le bord, comme on dit! Je me disais également que cela affectait peut-être également ma fille de 15 ans qui est encore en pleine croissance… Bref, je n’ai pas cherché de solution, trop préoccupée par des choses plus urgentes.

Je déménage dans moins de deux semaines, et donc dans cette lignée du changement, j’ai décidé de tout faire coïncider et de retourner au végétarisme à partir de cette date… d’instaurer de nouvelles habitudes puisque de toutes façons nous changerons beaucoup de choses ma fille et moi. Le moment me semble idéal. Surtout que ce n’est pas comme si je partais de zéro…!

J’ai déjà décidé de m’inscrire à L’Association végétarienne de Montréal et d’aller chercher là où je le peux, les informations dont j’ai besoin pour ne plus vivre de carences, tout en découvrant de nouvelles alternatives.

Puis avant-hier, ma mère m’a offert le livre Crudessence après avoir visionné une émission culinaire portant sur le sujet (Tout simplement Claudine sur TVA). Je n’ai pas vu cette émission, mais j’ai fait mes recherches et lu une partie du livre qui est tout simplement génial! Merci maman!!!

Je vous invite à vous abonner à leur chaîne sur Youtube.

Site web de Crudessence
Crudessence sur Facebook

Restaurants Crudessence à Montréal

105, rue Rachel Ouest
Plateau-Mont-Royal, Montréal
514 510-9299

2157 Mackay, Montréal.
514-664-5188

Comptoir Santé
360, rue Sicard, Ste-Thérèse, QC J7E 3X4 (Sortie 23 – autoroute 15)
Tél: 450.970.2422
Tél. sans frais: 1.888.433.0530

Vidéo de leur recette de Brownies

Éditions de l’Homme

Le gros changement que plusieurs redoutent

Vous pouvez croire ou ne pas croire ce qui suit. Pour ma part, avec ce que je ressens, cela ressemble étrangement à cela! D’ailleurs, le soleil est de plus en plus actif, et cela a déjà de gros impacts sur nos vies.

Je vous invite fortement à l’écouter jusqu’à la fin, car il donne des précisions intéressantes. J’insiste sur le fait qu’il n’est pas question de la fin du monde, mais de la fin du monde telle que nous le connaissons actuellement.

On peut se dire, « ok, si ça arrive, ça arrivera! » ou on peut de préparer d’une certaine façon, et justement, il en suggère une intéressante à la fin. Du reste… nous ne serons pas au bout de nos surprises je crois! Que mettriez-vous dans votre sac à dos?

Et qui sait si nos visiteurs de l’espace qui sont si nombreux depuis quelque temps partout dans le monde, ne sont pas ici pour nous aider lorsque le moment sera venu? Si des humains peuvent voir dans le futur, eux doivent y arriver plus facilement que nous, non?

Merci à Claude pour ce lien.

 

Bonheur climatique!

Nous parlons beaucoup des conséquences néfastes et désagréables du réchauffement climatique, et pour cause, cela implique de grands changements et ajustements. Aujourd’hui, je viens vous parler d’un côté positif à celui-ci…

Nous sommes, je le répète, un 21 mars… et ici c’est le Québec! Pourtant, ce matin, à 8 h 30 je suis sortie en manches courtes, pieds nus dans mes chaussures! Je ne frissonnais pas du tout! J’ai ouvert ma fenêtre (pour réchauffer l’intérieur de la maison!!!)… et depuis quelques jours, tous les thermostats sont fermés! Cela est déjà assez exceptionnel car habitant une maison centenaire, c’est frais et humide au rez-de-chaussée. Pourtant, pas besoin de chauffer!!!

Je suis allée prendre un café au Tim Hortons face au champ pour observer les centaines de bernaches qui ont passé la nuit sur le fleuve, et qui se réchauffaient les fesses au soleil avant de repartir, guidées par leur radar interne. Je les entendais presque se dire entre elles qu’elles avaient bien fait de suivre leur instinct en revenant plus tôt!

J’ai croisé des gens en shorts…

Tout le monde est hyper souriants, heureux de cette explosion de vie prématurée. Tout le monde se parle… car en effet, cela est une particularité québécoise qui me manquait quand je vivais à l’étranger, les gens sont non seulement faciles d’approche, mais très chaleureux même avec les gens qu’ils ne connaissent pas. Ce matin, je discutais justement avec un couple dans la fin cinquantaine. Chaque matin, il vont prendre leur café ensemble là, au bord du champ. Et je souriais… parce que nos grands-parents nous disaient à l’époque, en avril ne te découvre pas d’un fil… Et donc la dame portait encore ses bottes!!! Elle disait hésiter à les enlever, mais avouait avoir très chaud au pieds!!! Par contre, elle mentionnait qu’ils ont failli partir le climatiseur durant la nuit!!!!! 🙂

Son mari entretien les pelouses et les jardins en été, c’est son travail. Peut-être dans un avenir pas si lointain entretiendra-t-il les palmiers! Il commencera son travail plus tôt cette année… alors que les déneigeurs n’ont presque pas eu de travail cet hiver. Le bonheur des uns fait le malheur des autres.

On nous annonce une chaleur avoisinant les 29 Celcius aujourd’hui et demain! Chaque jour nous battons des records de chaleur.

Ça sent bon dans la maison, avec les fenêtres ouvertes!

Je mentionnais à un ami français l’an passé qu’on ne sait pas ce qu’est le printemps tant qu’on n’a pas traversé un hiver québécois! Mais je dois avouer qu’en ce moment, cela dépasse tout! Je ne me souviens pas avoir vécu aussi grande explosion de joie collective lors d’un printemps! Sans doute parce que, comme au jeu Monopoly, nous avons passé GO (l’été) sans récolter notre 200 $ (printemps)…

En France, le 1er mai, c’est le jour du travail, ou quelque chose comme cela. Et partout dans les rues il y a des gens qui vendent du muguet! Ici, autour de la fête de Pâques, on voyait des cartes de souhaits avec des jonquilles… mais dans les faits, nous n’avons aucunes fleurs avant la fin mai. Au rythme où vont les choses cette année, je crois bien que nous aurons nos fleurs avant les Français!!! 😉

Je sais… ne me le rappelez pas… que ce réchauffement implique aussi plus d’insectes, la disparition graduelle du sirop d’érable qui ne peut se passer de gel la nuit, de nouvelles maladies, la disparition de certaines espèces telles que les ours, des tempêtes de plus en plus tropicales et dévastatrices (nous le voyons s’accélérer chaque année ce phénomène), sécheresse, ouragans et j’en passe. Aujourd’hui le centre météo de la Californie à émit une alerte sismique pour les prochaines 48 heures, suite au gros séisme du Mexique, lequel subit encore de grosses secousses depuis… Il semble y avoir une épidémie d’éruptions volcaniques à travers le monde…

Mais aujourd’hui, laissez-nous nous réjouir de cet aspect positif du réchauffement! C’est tout simplement GÉNIAL!!!!

Ressentez-vous cette vague intense d’énergie qui part du Québec? Même les écureuils dansent!!!!

Bon été à tous!!!!

Pour suivre l’évolution de cette vague de chaleur, je vous invite à aller sur le site de météo média.

L’exceptionnel témoignage d’Anita Moorjani

Voici l’exceptionnel témoignage d’Anita Moorjani , revenue de la mort au terme d’un cancer en phase terminale qualifié d’incurable, et qui nous parle de ce qu’elle a vécu dans l’au-delà, les raisons pour lesquelles elle est revenue et comment elle a guéri son corps en quelques jours à l’hôpital, uniquement parce qu’elle avait compris l’être divin qu’elle était.

Les propos qu’elle tient ne seront pas sans vous rappeler ce que vous lisez à travers les articles de ce site. Ce que j’ajouterai par rapport à son magnifique témoignage est que l’identification des mécanismes de notre ego est la phase essentielle qui nous ouvre les portes de notre propre divinité ici-même, incarnés que nous sommes dans un corps de matière au sein de la dualité. Ce qu’elle a fait à travers son expérience exceptionnelle est ce que nous sommes tous en train de faire en conscience, pour peu que nous entreprenions de déconditionner tranquillement tous les aspects du moule de nos limitations, qui finalement est essentiellement tissé de peurs et d’ignorance. (Voir L’Eveil en Soi 1 et 2). La beauté de la chose en ces temps extraordinaires est qu’il ne faudra pas passer par la case « mort » pour le réaliser.

Merci à Guillaume qui m’a transmis ce témoignage.

Source: Le Passeur.

Anita Moorjani / Lilou Mace : Guérison d’un cancer de classe 4B – 46mn 47″ – VO sous-titrée en français